 Que ne puis-je vous donner toute mon expérience ! que ne puis-je vous faire voir l'ennui qui dévore les grands, et la peine qu'ils ont à remplir leurs journées ! Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse, dans une fortune qu'on auroit eu peine à...  Le Correspondant - Pàgina 5321857Visualització completa - Sobre aquest llibre
 | Etienne Bonnot de Condillac - 1798 - 478 pàgines
...remplir leur journée l Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse dans une fortune qu'on aurait eu peine à imaginer , et qu'il n'ya que le secours de Dieu qui m' empêche d'y succomber ? J'ai été jeune et jolie ; j'ai goûté des plaisirs ; j'ai été aimée... | |
 | Philippe Louis Gérard - 1801 - 498 pàgines
...Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse , dans une fortune qu'on auroit eu peine à imaginer ? J'ai été jeune et jolie ; j'ai goûté des plaisirs ; j'ai été aimée partout. Dans un âge plus avancé, j'ai passé des années dans le commerce de l'esprit ; je suis venue à la faveur ; et... | |
 | Etienne Bonnot de Condillac - 1803 - 476 pàgines
...remplir leur journée! Ne voyez-vous pas que je-meurr de tristesse dans une jortune qu'on aurait eu peine à imaginer , et qu'il n'ya que, le secours de Dieu qui ni empêche d? y succomber? J'ai été jeune, çt jàtie ; j'ai goûte des plaisirs ; j'ai été aimée... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1805 - 558 pàgines
...! Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse , dans une fortune qu'on auroit eu peine h imaginer ? J'ai été jeune et jolie ; j'ai goûté des plaisirs ; j'ai été aimée par-tout. Dans un âge plus avancé 3 j'ai ? passé des années dans le commerce de l'esprit : je suis venue à la faveur,... | |
 | Louis Maïeul Chaudon - 1805 - 540 pàgines
...Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse , dans une fortune qu'on auroit eu peine à imaginer ? J'ai été jeune et jolie ; j'ai goûté des plaisirs ; j'ai été aimée par-tout. Dant un âge plus ayante , j'ai passé des années dans le commerce de l'esprit : je suis venue à... | |
 | Louis-François de Bausset - 1809 - 592 pàgines
...Ne voyez» vous pas que je meurs de tristesse dans une M fortune qu'on aurait eu peine à imaginer. J'ai » été jeune et jolie, j'ai goûté des plaisirs; j'ai » été aimée partout ; dans un âge plus avancé, » j'ai passé des années dans le commerce de » l'esprit ; je suis venue à la fortune,... | |
 | 1810 - 416 pàgines
...remplir leurs journées ! Ne voyez-vous pas que ja meurs de tristesse dans une fortune qu'on auroit eU( peine à imaginer, et qu'il n'ya que le secours de...Dieu qui m'empêche d'y succomber ? J'ai été jeune , j'ai goûté des plaisirs, j'ai été aimée, j'ai passé des année* dans le commerce de l'esprit... | |
 | Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 594 pàgines
...Ne voyez-vous pas que je meurs de tristesse , dans une fortune qu'on auroit eu peine à imaginer P J'ai été jeune et jolie ; j'ai goûté des plaisirs : j'ai été aimée par-tout. Dans un âge plus avancé , j'ai passé des années dans le commerce de l'esprit : je suis venue à la faveur ,... | |
 | Mme Suard (Amélie) - 1810 - 498 pàgines
...«voyez-vous pas que je meurs de tris« tesse dans une fortune qu'on auroit eu «peine à imaginer ? J'ai été jeune et jolie, »j'ai goûté des plaisirs; j'ai été aimée partout. Dans un âge plus avancé, j'ai passé »des années dans le commerce de l'esprit; »je suis venue à la faveur;... | |
 | Anne-Henri Cabet vicomte de Dampmartin - 1810 - 464 pàgines
...susccplibles. « Ne voyez-vous pas que je meurs » de tristesse dans une fortune qu'on auroit » eu peine à imaginer, et qu'il n'ya que le » secours de Dieu qui m'empêche d'y suc» comber. J'ai été jeune, j'ai goûté les plai» sirs , j'ai été aimée , j'ai passé des... | |
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