Göttingische gelehrte Anzeigen, Volum 2

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Weidmannsche Buchhandlung, 1860
 

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Passatges populars

Pŕgina 1055 - Je vis, je meurs ; je me brűle et me noie ; J'ai chaud extręme en endurant froidure ; La vie m'est et trop molle et trop dure ; J'ai grands ennuis entremęlés de joie.
Pŕgina 1057 - ADIEU, plaisant pays de France, O ma patrie La plus chérie, Qui as nourri ma jeune enfance ! Adieu, France, adieu mes beaux jours...
Pŕgina 1091 - Expédition scientifique en Mésopotamie exécutée par ordre du gouvernement de 1851 ŕ 1854 par MM Fulgence Fresnel, Félix Thomas et Jules Oppert, publiée sous les auspices de S.
Pŕgina 877 - ... et leurs superstitions incurables. Sans doute, je ne voudrais pas juger le Bouddhisme tout entier sur ce seul signe ; et il ne faudrait pas le condamner sans autre examen, par cela seul que les sociétés qui le pratiquent sont mal organisées. Mais cependant on peut trouver une mesure des religions dans les institutions sociales qu'elles inspirent ou qu'elles tolčrent ; et certainement une des marques éclatantes de la grandeur du Christianisme, c'est d'avoir produit ces sociétés et ces gouvernements...
Pŕgina 1057 - N'a c'y de moi que la moitié: Une part te reste , elle est tienne ; Je la fie ŕ ton amitié Pour que de l'autre il te souvienne.
Pŕgina 707 - Récamier ne reçut de son mari que son nom. Ceci peut étonner, mais je ne suis pas chargée d'expliquer le fait ; je me borne ŕ l'attester, comme auraient pu l'attester tous ceux qui , ayant connu M. et Mme Récamier, pénétrčrent dans leur intimité. M. Récamier n'eut jamais que des rapports paternels avec sa femme ; il ne traita jamais la jeune et innocente enfant qui portait son nom que comme une fille dont la beauté charmait ses yeux et dont la célébrité flattait sa vanité.
Pŕgina 1055 - Et en plaisir maint grief* tourment j'endure ; Mon bien s'en va, et ŕ jamais il dure ; Tout en un coup je sčche et je verdoie. Ainsi Amour inconstamment me mčne ; Et quand je pense avoir plus de douleur, Sans y penser je me trouve hors de peine.
Pŕgina 716 - Sans doute on me connaît ici, mais la nature des hommes est froide, ce que nous appelons enthousiasme est inconnu. On a lu mes ouvrages; on les estime plus ou moins ; on me regarde un petit moment avec une curiosité fort tranquille, et on n'a nulle envie de causer avec moi et de me connaître davantage.
Pŕgina 717 - ... machinait toute son affaire. Il voyait Benjamin et compagnie. Et ce vaillant conspirateur, ce prince qui voulait l'indépendance de l'Italie, a été le premier ŕ fuir et ŕ laisser ceux qu'il avait séduits dans l'abîme, lors męme que ceux-ci n'étaient pas dispersés et se battaient encore. Tout cela est d'une canaillerie abominable, et les libéraux sont désormais déshonorés. L'indépendance de l'Italie peut ętre un ręve généreux, mais c'est un ręve, et je ne vois pas ce que les...

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