Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, les mains et les vêtements? — Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenais et défendais selon mon pouvoir (1). Jeanne d'Arc - Pàgina 46per Henri Wallon - 1860Visualització completa - Sobre aquest llibre
| 1837 - 666 pàgines
...les vêtemeuls? — Si on baisait mes vêtements, je n'en pouvais mai»; venaient les pauvres gens volontiers à moi , parce que je ne leur faisais point de déplaisir. — At on fait des images de vous en papier, en plomb ou autre métal ? at-on porté ces images suspendues... | |
| Jules Michelet - 1841 - 486 pàgines
...Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, les mains et les vêtements ? — « Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenais et défendais, selon mon pouvoir 2. » 11 n'y avait pas de cœur d'homme qui ne fût... | |
| 1860 - 782 pàgines
...l'honneur. — Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, « les vêtements? — Les pauvres gens venaient volontiers à moi « parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenaiset «les défendais selon mon pouvoir (i). » Certes Jeanne d'Arc nous apparaît ici... | |
| Jules Michelet - 1861 - 444 pàgines
...Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, les mains et les vêtements? — « Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenais et défendais, selon mon pouvoir s. » Il n'y avait pas de cœur d'homme qui ne fût... | |
| Antoine Elisabeth Cléophas Dareste de La Chavanne - 1865 - 608 pàgines
...les vêtements ? — Si on baisait mes vêtements , je n'en pouvais mais; venaient les pauvres gens volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir. — At-on fait des images de vous en papier, en plomb ou en autre métal? At-on porté ces images suspendues... | |
| Armand Fouquier - 1867 - 420 pàgines
...par mon commandement. Toutefois, s'ils ont prié pour moi, m'est avis qu'ils n'ont pas fait mal. — Connaissiez-vous les sentiments de ceux de votre parti...volontiers à moi parce que je ne leur faisais point déplaisir, mais je les .supportais selon mon pouvoir. — Ceux de votre parti croient-ils lermement... | |
| Antonin Roche - 1867 - 528 pàgines
...— Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les pieds, les mains, les vêtements ? — Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point déplaisir ; je les soutenais et défendais selon mon pouvoir. » Quelquefois elle élude certaines... | |
| Victor Duruy - 1868 - 776 pàgines
...— Quelle était la pensée des gens qui vous baisaient les mains, les pieds et les vêtements? — Les pauvres gens venaient volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir; je les soutenais et défendais selon mon pouvoir. — Croyez-vous avoir bien fait de partir sans la... | |
| Antoine Élisabeth Cléophas Dareste de la Chavanne - 1874 - 622 pàgines
...les vêtements? — Si on baisait mes vêtements, je n'en pouvais mais ; venaient les pauvres gens volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir. — At-on fait des images de vous en papier, en plomb ou en autre métal ? At-on porté ces images... | |
| Antoine Élisabeth Cléophas Dareste de la Chavanne - 1875 - 1250 pàgines
...les vêtements? — Si on baisait mes vêtements, je n'en pouvais mais ; venaient les pauvres gens volontiers à moi, parce que je ne leur faisais point de déplaisir. — At-on fait des images de vous en papier, en plomb ou en autre métal ? At-on porté ces images... | |
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