Or, suivit3 ce prince, je vous veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense... Simples récits d'histoire de France - Pàgina 141per Gustave Ducoudray - 1877 - 343 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1806 - 472 pàgines
...; il fut pris et convaincu, et le duc de Guise dit : « Je veux vous montrer combien la re'i>, gion que je tiens est plus douce que celle » de quoi vous...profession : la vôtre vous » a conseillé de me tuer , n'ayant reçu de moi » aucune offense ; et la. mienne me commande » que je vous pardonne , tout... | |
| Lacretelle - 1814 - 470 pàgines
...quelque manière » que ce fût , un si puissant ennemi de leur » religion- Or, suivit ce prince, je vous veux » montrer combien la religion que je...faites » profession. La vôtre vous a conseillé de » nie tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi » aucune offense, et la mienne me com- , » mande que.... | |
| Charles-Jean-Dominique de Lacretelle (Le jeune) - 1814 - 462 pàgines
...ennemi de leur » religion. Or, suivit ce prince, je vous veux » montrer combien la religion gué je tiens » est plus douce que celle de quoi vous...vôtre vous a conseillé de » me tuer sans m'ouïr, n ayant reçu de moi » aucune offense , et la mienne me com» mande que je vous pardonne , tout con$... | |
| Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - 1817 - 602 pàgines
...entreprise, que l'intérêt de sa religion. « Or ça , dit ce » prince , je vous veux montrer cora» bien la religion que je tiens est plus » douce que celle de quoi vous laites я profession. La vôtre vous a cou» seule de me tuer , sans m'ouir , » n'ayant reçu de moi... | |
| Jean-Baptiste-Pierre Courcelles - 1823 - 528 pàgines
...dit le duc , je veux vous montrer combien la religion que je > liens est plus douce que celle dont vous faites profession. La vôtre > vous a conseillé de me tuer, sans avoir reçu de moi. aucune offense; «la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que... | |
| Étienne de Jouy - 1823 - 338 pàgines
...combien la religion que je tiens est plus doulce que celle de quoi vous faites profession. La vostre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aulcune offense ; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir... | |
| Etienne de Jouy - 1824 - 438 pàgines
...combien la religion que je tiens est plus doulce que celle de quoi vous faites profession. La vostre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aulcune offense; et la mienne me commande que je vous pardonne , tout convaincu que vous êtes de m'avoir... | |
| Louis Athanase des Balbes de Berton de Crillon - 1825 - 460 pàgines
...consulté, dans cette entreprise, que l'intérêt de sa religion. « Or cà , » dit ce prince , « je vous veux « montrer combien la religion que je...sans m'ouïr, « n'ayant reçu de moi aucune offense 5 et la mienne me « commande que je vous pardonne, tout convaincu que « vous êtes de m'avoir voulu... | |
| Jules Michelet - 1827 - 550 pàgines
...Philippe II, la postérité pardonnera beaucoup à l'homme qui disait à son assassin : « Or ça, » je vous veux montrer combien la religion que je tiens » est plus douce que celle de quoi vous faites profes» sion : la vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, » n'ayant reçu de moi aucune... | |
| 1843 - 900 pàgines
...desquelles bien des dioses peuvent lui être pardonnées : « Je veux vous monstrer combien la re• ligion que je tiens est plus douce que • celle de quoi vous faites profession ; • la vostre vous a conseillé de me tuer • sans m'ouïr , n'avant reçu de moi au• cune offense, et... | |
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