Prince , autrefois si grand et alors si malheureux , je ne fus plus maître de moi-même; mes larmes s'échappèrent malgré moi , et je tombai à ses pieds sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur; cette vue l'attendrit... 5. section, suite De la révolution française - Pàgina 258per Jean-François Georgel - 1820Visualització completa - Sobre aquest llibre
| Henri Essex Edgeworth de Firmont - 1815 - 236 pàgines
...si grand , et alors si malheureux , je ne fus plus maître de moi-même ; mes larmes s'échappèrent malgré moi , et je tombai à ses pieds , sans pouvoir...faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur ; cette vue l'attendrit mille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord... | |
| Henry Essex Edgeworth de Firmont, C. Sneyd Edgeworth - 1815 - 238 pàgines
...autrefois si grand, et alors si malheureux, je ne fus plus maître de moimême. Mes larmes s'échappèrent malgré moi, et je tombai à ses pieds, sans pouvoir...entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendrit mille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord... | |
| 1815 - 672 pàgines
...prince autrefois si я grand et alors si malheureux, je ne » fus plus maître de moi - même. Des я larmes m'échappèrent malgré moi, » et je tombai à ses pieds sans pouvoir я lui faire entendre d'autre langage que » celui de ma douleur. Cette vue l'at» tendril mille fois... | |
| Jean-François Georgel - 1818 - 492 pàgines
...prince, autrefois si grand, aujourd'hui » si malheureux, je ne fus plus maître de » moi -même. Les larmes m'échappèrent » malgré moi , et je...lire : il ne répondit d'abord à mes » larmes que parles siennes ; mais bientôt, » reprenant son courage : / "ardonnez , » monsieur , me dit-il ,... | |
| Charles Louis Richard - 1823 - 948 pàgines
...deceprinceautrefoissi grand, » et alors si malheureux , je ne '• fus ^ilus maître de moi-mê» me. Dès larmes m'échappèrent >' malgré moi , et je tombai...entendre d'autre langage que » celui de ma douleur. Cette vue » l'attendrit mille fois plus que » le décret qu'on venait de lui » lire. Il ne répondit... | |
| Jean Baptiste C. Hanet-Cléry - 1823 - 356 pàgines
...alors si mal- j heureux , je ne fus plus maître de contenir mes larmes : elles inondèrent mon visage et je tombai à ses pieds , sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendrit mille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord... | |
| 1825 - 358 pàgines
...alors si malheureux, je ne fus plus maître de contenir mes larmes : elles inondèrent mon visage, et je tombai à ses pieds, sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendritmille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord... | |
| Cléry (M.) - 1825 - 360 pàgines
...alors si malheureux , je ne fus plus maître de contenir mes larmes : elles inondèrent mon visage, et je tombai à ses pieds, sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendritmille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il nç répondit d'abord... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 372 pàgines
...alors si malheureux, je ne fus plus maître de contenir mes larmes : elles inondèrent mon visage, et je tombai à ses pieds , sans pouvoir lui faire entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendritmille fois plus que le décret qu'on venait de lui lire. Il ne répondit d'abord... | |
| vicomte Joseph-Alexis Walsh - 1840 - 446 pàgines
...autrefois si grand et alors si malheureux je ne fus plus maître de moi-même; mes larmes s'échappèrent malgré moi, et je tombai à ses pieds sans pouvoir...entendre d'autre langage que celui de ma douleur. Cette vue l'attendrit mille fois plus quu le décret que l'on venaii de lui lire; il ne répondit d'abord... | |
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