Histoire de France sous le règne de Henri III, Volum 2

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Pàgina 432 - Madame, je n'en suis pas cause ; ce n'est pas moi qui vous empêche de coucher dans votre lit, c'est vous qui m'empêchez de coucher dans le mien ; la peine que vous prenez vous plaît et vous nourrit : le repos est le plus grand ennemi de votre vie.
Pàgina 536 - Je ne vous dirai qu'une chose, c'est que vous êtes de la maison de Bourbon, et, vive Dieu ! je vous montrerai que je suis votre aîné.
Pàgina 210 - avenoit, comme il se peut faire, je desire sçavoir de « vous, et vous prie de me dire librement, si vous ne « le voudriez pas disputer avec votre neveu? » Alors M. le cardinal se sentant fort pressé du Roy, va lui dire': « Sire, puisque .vous le voulez et me le comman...
Pàgina 19 - III de profonds et justes ressentimens; les ligueurs voyoient en lui un obstacle à leurs projets; les Guises et Monsieur songeoient, chacun pour leur compte, à le faire descendre du trône. De toutes parts, on voyoit éclore contre lui des satires en vers et en prose, en latin et en français; la licence universelle du langage à sa cour et dans tout le public permettoit de désigner par leur nom les turpitudes dont on l'accusoit. L'imprimerie multiplioit les libelles , et la police n'étoit point...
Pàgina 148 - ... procession, ils portoient un habit en forme de sac allant jusques sur les pieds, assez large, avec deux manches, et un capuchon cousu sur la...
Pàgina 209 - ... vrant par sa bouche le langage de la ligue, « qui dès ce temps commençoit à pratiquer le « bon homme , lui dit tout haut en riant : Mon « oncle , on dit ici qu'il y en a qui vous veulent « faire roi; dites-leur qu'ils vous fassent pape, « ce sera chose qui vous sera plus propice , et si « serez plus grand qu'eux, et que tous les rois
Pàgina iv - ... ou si malhabile, que plus les protestants étaient vaincus, plus ils obtenaient de bonnes conditions, et que cette sixième paix, faite à une époque où leur parti n'avait jamais été si faible, leur était plus avantageuse que toutes les autres. Aussi, à la nouvelle de ce traité, Philippe II s'écria : « La foi est désormais incompatible avec cette maison de Valois; il faut se pourvoir ailleurs. » Cette opinion était celle de toute la Ligue. § V.
Pàgina 252 - Généraux fussent tenus au moins une fois tous les trois ans; protestant de poser les armes «aussitôt qu'il aura plu à SM faire cesser le péril qui menace la ruine du service de Dieu et de tant de gens de bien », mais de plutôt mourir tous que de les poser sans- cette condition, « avec désir d'être amoncelés dans une sépulture consacrée aux derniers François, morts en armes pour le service de Dieu et de leur patrie3».
Pàgina 359 - Catherine, l'aînée des deux filles, est connue par sa flère réponse à Henri IV : « Je suis trop pauvr"e pour être votre femme et de trop bonne maison pour être votre maîtresse.
Pàgina 144 - Il n'ya point de Frison un peu instruit qui ne sache qu'alors l'usage des clefs et des serrures était inconnu en Frise. On n'avait que le simple nécessaire, et ce n'était pas la peine de l'enfermer: on ne craignait point ses compatriotes; on défendait ses troupeaux et ses grains contre...

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