| François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 406 pàgines
...de l'auteur.) Enfm le mardi, à une heure du matin, après avoir souffert une agonie de trente-sept heures, qu'on ne peut comparer même à la mort ;...et mille fois le calice d'amertume , la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle ; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| 1823 - 404 pàgines
...coEnfin le mardi , à une heure du matin , après avoir souffert une agonie de trente-sept heures y qu'on ne peut comparer même à la mort ; après avoir...mille fois le calice d'amertume ,. la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle ; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 424 pàgines
...fils que le coEnfin le mardi , à une heure du malin , après avoir souffert une agonie de trente-sept heures, qu'on ne peut comparer même à la mort; après avoir bu mille et mille fôk le calice d'amertume , la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle ; je parais. Trois hommes... | |
| Jacques-Antoine Dulaure - 1823 - 584 pàgines
...mardi (4 septembre), à une heure » da matin , après avoir souffert une agonie de » trente -sept heures, qu'on ne peut comparer » même à la mort ; après avoir bu mille fois le » calice d'amerlume, la porte de ma prison s'ou>> vre; on m'appelle, je parais : trois hommes... | |
| 1823 - 412 pàgines
...souffert une agonie de trente-sept heures , qu'on ne peut comparer même à la mort ; après ayoir bu mille et mille fois le calice d'amertume , la* porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835 - 502 pàgines
...Saint-Mcard.) Enfin le mardi, à une heure du matin , après avoir souffert une agonie de trente-sepl heures , qu'on ne peut comparer même à la mort ;...et mille fois le calice d'amertume, la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle ; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| Alphonse Esquiros - 1847 - 494 pàgines
...approchait. « Enfin le mardi , à une heure du matin , après avoir souffert une agonie de trente-sept heures, qu'on ne peut comparer même à la mort, après...et mille fois le calice d'amertume, la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle , je parais , trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1852 - 372 pàgines
...épreuve. « Enfin le mardi, à une heure du matin, dit-il, après avoir souffert une agonie de trente-sept heures, qu'on ne peut comparer même à la mort, après...et mille fois le calice d'amertume, la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entraînent dans l'affreux... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1858 - 348 pàgines
...approchait ( I ) . Enfin le mardi , à une heure du matin , après avoir souffert une agonie de trente-sept heures, qu'on ne peut comparer même à la mort, après...et mille fois le calice d'amertume , la porte de ma prison s'ouvre : on m'appelle ; je parais. Trois hommes me saisissent et m'entrainent dans l'affreux... | |
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