| Voltaire - 1774 - 418 pàgines
...Tibur était pour toi la cour de l'Empereur ; Tibur dont tu nous fuis l'agréable peinture , Surpafîa les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus...les Alpes de loin s'élevant dans la nue D'un long amphithéatre enferment ces. coteaux, Où le pampre en feftons rit parmi les ormeaux. Là , quatre... | |
| 1773 - 476 pàgines
...Tibur valoir pour toi la cour de l'empereur , Tibur , dont tu nous fais l'agréable peinture , furpafla les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus beau : les regards étonnés , fur cent vallons fleuris doucement promenés , de la jner de Genève admirent l'étendue, & les Alpes... | |
| Voltaire - 1774 - 418 pàgines
...Tibur était pour toi la cour de l'Empereur ; Tibur dont fu nous fais l'agréable peinture , Surpafia les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus...les Alpes de loin s'élevant dans la nue D'un long amphithéatre enferment ces coteaux, Où le pampre en feftons rit parmi les ormeaux. Là , quatre Etats... | |
| 1775 - 564 pàgines
...Tibur était pour toi la cour de l'empereur ; Tibur dont tu nous fais l'agréable peinture , Surpaiia les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus...les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéatre enferment ces côteaux , Où le pampre en feflons rit parmi les ormeaux. Là , quatre... | |
| Voltaire - 1775 - 430 pàgines
...Tibur était pour toi la cour de l'empereur ; Tibur dont tu nous fais l'agréable peinture , Surpaffa les jardins vantés par Epicure. Je crois Ferney plus...Alpes de loin , s'élevant dans la nue , D'un long amphithéatre enferment ces coteaux, Où le pampre en feftons rit parmi les ormeaux. Là , quatre états... | |
| Voltaire - 1785 - 488 pàgines
...eft l'infipide frère. Oui, la retraite pèfe à qui ne fait rien faire; Mais l'efprit qui s'occupe y goûte un vrai bonheur. Tibur était pour toi la...dans la nue , D'un long amphithéâtre enferment ces côteaux Où le pampre en feftons rit parmi les ormeaux. Là , quatre Etats divers arrêtent ma peafée.... | |
| Voltaire - 1808 - 438 pàgines
...l'empereur : Tibur, dont tu nous fais l'agréable peinture, Surpassa les jardins vantés par Ëpicure. Je crois Ferney plus beau. Les regards éto-nnés,...promenés , De la mer de Genève admirent l'étendue ; Elles Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment ces coteaux Où le... | |
| A. Roche - 1853 - 720 pàgines
...dont tu nous fais l'agréable peinture, Surpassa les jardins vantés par Épicure. Je crois Ferncy plus beau. Les regards étonnés, Sur cent vallons...promenés, De la mer de Genève admirent l'étendue ; Et le» Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment ces coteaux, Ouïe pampre... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 454 pàgines
...à Horace. Tibur, dont tu nous fais l'agréable peinture, Surpassa les jardins vantés par Kpicure. Je crois Ferney plus beau. Les regards étonnés,...loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment-ces coteaux Où le pampre en festons rit parmi les ormeaux. Et du bord de mon lac à tes... | |
| Arsène Houssaye - 1858 - 454 pàgines
...peinture,' Surpassa les jardins vantés par Épicure. Je crois Ferney plus beau. Les regards étounés, Sur cent vallons fleuris doucement promenés, De la mer de Genève admirent l'étendue ; £t les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment ces coteaux Où... | |
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