 | Camille Desmoulins - 1825 - 442 pàgines
...de cet accident m'a réveillé. Je me suis retrotrvé dans mon cachot. Il faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car...toute ma fermeté d'âme. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu?... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1825 - 410 pàgines
...de cet accident m'a réveillé. Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car...toute ma fermeté d'âme. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô ma chère Lucile, où es-tu?... | |
 | Camille Desmoulins - 1825 - 412 pàgines
...de cet accident m'a réveillé. Je me suis retrouvé dans mon cachot. II faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous nie parliez, je nie suis levé au moins pour te parler et t'écrire. Mais, ouvrant mes fenêtres ,... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1837 - 1052 pàgines
...de cet accident m'a réveillé. Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car...pensée de ma solitude, les affreux barreaux, les verroux qui me séparent de loi , ont vaincu toute ma fermeté d'ame. J'ai fonflu en larmes , ou plutôt... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1837 - 1022 pàgines
...t'écrire. Mais ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude , les affreux barreaux , les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu toute ma fermeté d'âme. J'ai fondu en larmes , ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau : Lucile ! Lncile ' ô ma chère Lucile, où es-tu?....... | |
 | Camille Desmoulins - 1838 - 444 pàgines
...de cet accident m'a réveillé. Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il faisoit un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car...me séparent de toi , ont vaincu toute ma fermeté m. ..* 221 «-« d'ame. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans mon tombeau... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 402 pàgines
...ta mère, Horace, »tous!... Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il » faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et » entendre tes réponses,...toute ma fermeté » d'âme. J'ai fondu en larmes ou plutôt j'ai sangloté »en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile! ô » ma chère Lucile! où es-tu?... | |
 | Alphonse de Gisors - 1847 - 302 pàgines
...accident m'a réveillé. Je » me suis retrouvé dans mon cachot ; il faisait un peu de » jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car...toute ma fermeté d'âme. » J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté en criant dans » mon tombeau : Lucile ! Lucile ! o ma chère Lucile, où »... | |
 | Alphonse Esquiros - 1847 - 494 pàgines
...mon réveil, en ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude, mes affreux barreaux, les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu toute ma fermeté d'âme. J'ai fondu en larmes, ou plutôt j'ai sangloté, en criant dans mon tombeau : Lucile! Lucile, ma chère Lucile! où es-tu? Hier... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1847 - 622 pàgines
...ta « mère, Horace, tous!... Je me suis retrouvé dans mon « cachot. 11 faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir « et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me par<( liez , je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire. « Mais ouvrant mes fenêtres ,... | |
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Je me suis retrouvé dans mon cachot. Il faisait un peu de jour. Ne pouvant plus te voir et entendre tes réponses, car toi et ta mère vous me parliez, je me suis levé au moins pour te parler et t'écrire. Mais, ouvrant mes fenêtres , la pensée de... 
