| 1811 - 700 pàgines
...commencé au collège, et elle ne finit qu'au tombeau, a Son admiration pour Voltaire, a dit La Harpe , était un sentiment vrai , et sans aucune ostentation...tous ceux qui le voyaient, lui savaient » gré de son bonheur. » Marmontel, dans ses Mémoires , le représente comme un gobe-mouche, une espèce d'imbécille... | |
| Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - 1811 - 648 pàgines
...véritablement » de ses confidences et de ses succès : » il n'en était pas vain; il en était heu» reux , et de si bonne foi , que tous » ceux qui le voyaient , lui savaient » gré de son bonheur. » Marmonte), dans ses Mémoires , le représente comme un gobe-mouche , une espèce d'imbécille... | |
| Grafigny (Mme de, Françoise d'Issembourg d'Happoncourt) - 1820 - 496 pàgines
...ostentation. Il adorait ses talens > comme il aimait sa personne avec la plus grande sincé» ritè. Il jouissait véritablement de ses confidences et...tous ceux qui le voyaient lui savaient » gré de son bouheur. Il n'est pas nécessaire d'ajouter que » l'ami de Foltaire avait un goût juste et naturellement... | |
| Voltaire - 1834 - 542 pàgines
...aimait sa personne, avec la plus grande sincérité. Il jouissait véritablement de ses conf1dences et de ses succès; il n'en était pas vain, il en...puisse exciter l'envie. « Avec beaucoup de douceur dans les mœurs, il n'avait pas moins Je fer melé dans ses principes, deux choses qui ne s'aHieut... | |
| Voltaire - 1839 - 660 pàgines
...admiration pour Voltaire était un sentiment vrai et sans aucune ostentation ; il adorait ses talens comme il aimait sa personne , avec la plus grande...ne puisse exciter l'envie, Avec beaucoup de douceur dans les mœurs , il n'avait pas moins de fermeté dans ses principes, deux choses qui ne s'allient... | |
| Voltaire - 1839 - 638 pàgines
...plus grande sincérité. Il jouissait véritablement de ses confidences et de ses succès ; il n'eu était pas vain , il en était heureux , et de si...jouissons dans autrui a quelque chose de si intéressant, qne c'est peutêtre le seul qui ne puisse exciter l'envie. Avec beaucoup de douceur dans les mœurs,... | |
| 1840 - 1162 pàgines
...avait commencé au collège et ne flnit qu'au tombeau. Son admiration pour Voltaire, dit la Harpe, était un sentiment vrai et sans aucune ostentation;...que tous ceux qui le voyaient lui savaient gré de son bonheur. Pendant soixante dix ans, Voltaire le consulta docilement sur ses ouvrages , et il passa... | |
| Philippe Le Bas - 1840 - 824 pàgines
...elle avait commencé au collège et ne unit qu'au tombeau. Son admiration pour Voltaire, dit la Harpe, était un sentiment vrai et sans aucune ostentation;...que tous ceux qui le voyaient lui savaient gré de son bonheur. Pendant soixante- dix ans, Voltaire le consulta docilement sur ses ouvrages , et il passa... | |
| Philippe Le Bas - 1840 - 706 pàgines
...sincérité. Il jouissait véritablement dé ses confidences et de ses succès ; il n'en' était pris vain; il en était heureux, et de si bonne, foi, que tous ceux qui le voyaient lui savaient gré de son bonheur. Pendant soixante- dix ans, Voltaire le consulta docilement sur ses ouvrages, et il passa... | |
| Voltaire - 1843 - 458 pàgines
...sincérité. Il jouissait véritablemeut de ses confidences et de ses succès; il u'eu était pas vain, il eu était heureux, et de si bonne foi, que tous ceux qui le voyaient lui savaient gié de ce bonheur. En effet, cette espèce de bonheur dont nou» jouissons dans autrui a quelque chose... | |
| |