| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1819 - 330 pàgines
...faire trois tours sur la place publique , en lui baisant le derrière. Si l'on volait un épervier , on était condamné à une amende de huit écus d'or, ou à se laisser manger par cet oiseau cinq onces de chair , sur cette partie du corps, que le lecteur devine, dès qu'on ne la... | |
| Saint-Edme - 1824 - 536 pàgines
...mettait en pénitence par ordre de l'Église. FESSES. Les Francs condamnaient le voleur d'un épervier à une amende de huit écus d'or, ou à se laisser manger par cet oiseau cinq onces de chair sur ^es fesses. Telle est la disposition de la loi Gombetle. —•... | |
| Michel de L'Hospital - 1825 - 412 pàgines
...le plus fidèle, et la preuve la plus certaine de l'état des mœurs à cette époque. On reconnait l'importance que le prince et les grands attachaient...voleur était condamné à une amende de huit écus cTor, ou à se laisser manger, par l'oiseau qu'il avait dérobé, six onces de chair sur l'estomac'(i).... | |
| Saint-Edme - 1828 - 714 pàgines
...connaissance, devenait esclave; il en était de mùme du fils à l'égard de son père. Un voleur d'épervier était condamné à une amende de huit écus d'or, ou à se laisser manger par cet oiseau cinq onces de chair prises sur ses fesses. On se ferait une idée entièrement fausse de... | |
| 1836 - 628 pàgines
...ar«ticles de la loi Gombette. «Par l'un de ces articles , si un vilain volait un éper«vier, il était condamné à une amende de huit écus «d'or, ou à se laisser manger par cet oiseau cinq «onces de chair, sur une partie du corps que le lecteur «devine dès qu'on ne la... | |
| Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Savoie - 1864 - 758 pàgines
...fiùr trois (ours sur la plare publique en lui baisant le derrière. Si on votait un épervier, on était condamné à une amende de huit écus d'or, ou à se laisser manger par cet oiseau de proie cinq onces de chair sur les parties postérieures. • (SENEBIER, cité par Grillet,... | |
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