Histoire de Blois et de son territoire, depuis les temps les plus reculés jusqua̕ nos jours

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F. Jahyer, 1841 - 451 pàgines
 

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Passatges populars

Pàgina 171 - Je ne sais, ajoutait-il, mais j'entends qu'on n'en veut qu'à vous. Je désirerais que pour un temps vous fussiez hors d'ici , pour voir si c'est à vous ou à moi qu'on en veut.
Pàgina 202 - MON âme, je vous écris de Blois **), où il ya cinq mois que l'on me condamnait hérétique, et indigne de succéder à la couronne} et j!en suis à cette heure le principal pilier. Voyez les œuvres de Dieu envers ceux qui se sont fiés en lui: car...
Pàgina 188 - ... et distinguer ses serviteurs, et d'un seul élancement de sa vue les fortifier en l'espérance de l'avancement de ses desseins, de sa fortune et de sa grandeur, et leur dire sans parler, JE VOUS VOIS...
Pàgina 144 - ces langages du maréchal ; mais il ne faut pas toujours prendre au pied de « la lettre ses rodomontades, jactances et vanités. Il faut en supporter « comme d'un homme qui ne sait pas plus s'empêcher de mal dire d'autrui « et de se vanter excessivement lui-même, que de bien faire lorsqu'il se « trouve à une occasion, le cul sur la selle et l'épée à la main.
Pàgina 414 - Je lui dois tout, mon rang, mes titres, ma fortune, et ce que je préfère à tout cela , je lui dois ce que votre indulgence veut bien appeler ma gloire. Je le servirai tant qu'il vivra ; ma personne est à lui comme mon cœur. Puisse mon épée se briser entre mes mains si elle était jamais infidèle à l'empereur et à la France ! « Je me flatte que mon refus apprécié m'assurera l'estime de Votre Majesté.
Pàgina 313 - Quant à moi, catholique par conviction et par sentiment, prêtre par choix, j'ai été désigné par le peuple pour être évêque; mais ce n'est ni de lui ni de vous que je tiens ma mission.
Pàgina 85 - Par ma foi, beau-frère et beau-cousin, je vous >> dois aimer par-dessus tous les autres princes de » ce royaume, et ma belle cousine votre femme: » car, si vous et elle ne fussiez, je fusse demeuré » à toujours au danger de mes adversaires, et n'ai » trouvé meilleur ami que vous.
Pàgina 311 - Nous apprenons par les papiers publics que la Convention doit prononcer demain sur Louis Capet. Privés de prendre part à vos délibérations , mais instruits par une lecture réfléchie des pièces imprimées, et par la connaissance que chacun de nous avait acquise , depuis longtemps, des trahisons non interrompues de ce roi parjure , nous croyons que c'est un devoir pour tous les députés d'annoncer leur opinion publiquement , et que ce serait une lâcheté de profiter de notre éloignement pour...
Pàgina 241 - Je compterais aller à Péronne ou à Saint-Quentin y ramasser tout ce que j'aurais de troupes, faire un dernier effort avec vous, et périr ensemble, ou sauver l'État ; car je ne consentirai jamais à laisser approcher l'ennemi de ma capitale.
Pàgina 413 - Majesté ; elles m'ont paru sans doute fort belles, mais elles ne changeront pas ma détermination. Il faut que j'aie joué de malheur lorsque j'ai eu l'honneur de vous voir, puisque vous avez gardé de moi la pensée que je pouvais, pour un prix quelconque, forfaire à l'honneur.

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