Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, Volum 141847 |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, Volum 13 Cesare Cantù Visualització completa - 1847 |
Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, Volum 5 Cesare Cantù Visualització completa - 1845 |
Histoire universelle, tr. par E. Aroux et P. Léopardi, Volum 12 Cesare Cantù Visualització completa - 1847 |
Frases i termes més freqüents
anciens armes artistes arts attendu avaient beau Bologne Borgia cardinal cause cent César Borgia chanter Charles Charles VIII Charles-Quint choses Clément VII Cosme d'autres d'or démon dessin Dieu donner duc de Valentinois ducats écrivit ennemis ensuite envoya Espagnols faisait femmes Ferdinand Ferrare Florence Florentins force François Ier François Sforza frère gens gouvernement guerre Guicciardini Henri VIII hommes Italie Italiens jamais Jean Jérôme Jules l'Arioste l'art l'Église l'empereur l'histoire l'Italie laisser Laurent de Médicis Léon Léon X lettres liberté livre Louis XII Ludovic le More Machiavel maître Maximilien Médicis ment Michel-Ange Milan mille montre mort moyen âge Naples nations nombre non-seulement ouvrages palais pape passé patrie pays peintre pensée personne peuple Pierre poëme poëte politique pontife princes puissance raison Raphaël république reste rien Rome royaume s'en s'était saint Savonarole science seigneurs sentiment seulement Sforza siècle soldats Soliman sorcières style tion Titien traité troupes trouve Turcs VARCHI Venise Vénitiens vérité
Passatges populars
Pàgina 379 - Il ya si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, que celui qui tient pour réel et pour vrai, ce qui devrait l'être sans doute, mais malheureusement ne l'est pas, court à une ruine inévitable.
Pàgina 19 - Dans ce cas, soyez conséquents comme Lycurgue; comme lui, partagez les terres entre tous les citoyens; proscrivez à jamais les métaux que la cupidité humaine arracha aux entrailles de la terre. Brûlez même les assignats dont le luxe pourrait aussi s'aider, et que la lutte soit le seul travail de tous les Français.
Pàgina 113 - Une chose avoyent-ils bonne, c'estoit une gaillarde compagnie, pleine de jeunes gentils-hommes, mais en peu d'obéissance. Ainsi faut conclure que ce voyage fut conduit de Dieu , tant à aller qu'au retourner, car le sens des conducteurs , que j'ay dit , n'y servit de guères. Toutesfois ils pouvoient bien dire qu'ils furent cause de donner grand honneur et grande gloire à leur maistre.
Pàgina 380 - S'ils deviennent excusables, d'autant qu'ils nous font besoing et que la necessité commune efface leur vraye qualité 7, il faut laisser jouer cette partie ' aux citoyens plus vigoureux et moins craintifs qui sacrifient leur honneur et leur conscience, comme ces autres...
Pàgina 22 - Aussi la conclusion de mon travail sera celle-ci : le droit romain a été meilleur sous l'époque chrétienne que dans les âges antérieurs les plus brillants ; tout ce qu'on a dit de contraire n'est qu'un paradoxe ou un malentendu. Mais il a été inférieur aux législations modernes, nées à l'ombre du christianisme et mieux pénétrées de son esprit.
Pàgina 78 - Juger et raconter à la fois ; manifester tous les dons de l'imagination dans la peinture exacte de la vérité ; se plaire à tout ce qui a de la vie et du mouvement ; laisser au lecteur, comme à soi-même, son libre arbitre pour blâmer et approuver ; allier une sorte de douce ironie à une impartiale bienveillance, tels sont les traits principaux de la narration française.
Pàgina 19 - Grèce, dans d'étroites limites, doivent l'être rigoureusement et sans modification à la République française ? Voulez-vous lui créer un gouvernement austère, pauvre et guerrier comme celui de Sparte ? « Dans ce cas, soyez conséquents comme Lycurgue ; comme lui, partagez les terres entre tous les citoyens ; proscrivez à jamais les métaux que la cupidité humaine...
Pàgina 99 - Les Guelfes ces partisans de la papauté, ET ENCORE PLUS DE LA LIBERTÉ, balancèrent toujours le pouvoir des Gibelins, partisans de l'empire. Les divisions entre Frédéric et le Saint-Siège N'EURENT JAMAIS LA RELIGION POUR OBJET*.
Pàgina 91 - Maximilien , qui , à l'âge de trente-quatre ans, avait hérité, par son père, de l'Autriche, de la Styrie, de la Carinthie et de la Carniole ; par Sigismond , son cousin, des possessions de l'autre branche autrichienne, savoir : le Tyrol, la Souabe, l'Alsace; enfin par son mariage, de la Bourgogne, du Brisgau et du Sundgau, qu'il céda ensuite à son fils Philippe, lequel atteignait à peine sa seizième année.
Pàgina 179 - Les tombeaux même ne furent pas respectés, et un anneau d'or fut arraché du doigt de Jules II. Les luthériens se faisaient une joie de fouler aux pieds les choses sacrées , et de détruire l'idolâtrie des tableaux et des statues. Le cardinal d'Araceli, qu'ils mirent vivant dans un cercueil, et dont ils célébrèrent les obsèques avec dérision, fut promené par eux dans les rues de Rome; ils s'enivrèrent dans son palais, du vin dont ils remplissaient les calices ; puis ils l'envoyèrent,...