Histoire de la Perse, depuis les tems les plus anciens jusqu'à l'époque actuelle: suivie d'observations sur la religion, le gouvernement, les usages et les moeurs des habitans de cette contrée, Volum 2

Portada
Chez Pillet ainé, 1821
 

Altres edicions - Mostra-ho tot

Frases i termes més freqüents

Passatges populars

Pàgina 272 - Malcolm, parlent avec transport du beau caractère d'Ismaël ; ils ne le considèrent pas seulement comme le fondateur d'une grande dynastie, ils voient en lui le protecteur de cette foi particulière dont ils se glorifient comme d'une religion nationale; il est appelé , dans leurs histoires , Schah-Schla ou le roi des Schiites, désignation qui prouve combien on chérit sa mémoire.
Pàgina 341 - Herbert.) constances où il ne s'agissait pas de sa famille, il semble cependant qu'il se conduisait dans ces cas plutôt par politique que par colère. Son désir était de rétablir la tranquillité ; et il savait qu'un gouvernement despotique ne peut être fondé que sur une soumission craintive et complète à l'autorité du monarque. Il réussit parfaitement à atteindre ce but ; et la longue paix dont il fit jouir la Perse doit être attribuée surtout à la sagesse de ses mesures.
Pàgina 239 - Le grain tomba soixante-neuf fois à «terre; mais l'insecte persévéra; et, « à la soixante et dixième fois, il at« teignit le haut du mur avec le far« deau qu'il traînait. Cet exemple, « ajoutait Timour, me rendit sur-le« champ du courage , et je n'ai jamais « oublie la leçon que m'a donnée cette • fourmi.
Pàgina 259 - On a controversé sur le point de savoir, si le nom de Suffee (Seffy), comme il est appliqué à ce personnage, était un nom propre, ou si c'était une expression employée pour désigner son caractère religieux comme Sooffee (Sophi). Ce peut avoir été l'un ou l'autre: les deux mots Suffee et Sooffee ont la même racine (?) que Sufa (Sèfa), qui veut dire net, pur (?). L'auteur de cette note est complètement dans l'erreur ; la racine Szafâ ou Szèfa signifie vf pureté et a donné naissance...
Pàgina 284 - Tamasp ne fut pas relative à sa mission, mais bien à la religion de l'ambassadeur, savoir, s'il était gaur ou infidèle ou bien mahométan. L'Anglais répondit qu'il n'était ni infidèle , ni mahométan , mais chrétien ; et il ajouta qu'il considérait le Christ comme le plus grand des prophètes. Le monarque vers qui il était envoyé répondit qu'il n'avait point besoin du secours des infidèles, et lui donna ordre de sortir, ce qu'il fit.
Pàgina 72 - trop de ma force et de mon adresse, • j'ai voulu tuer de mes propres mains « le gouverneur de Berzem , et je n'ai • pas souffert qu'on l'empêchât de « m'attaquer. Je péris par ma faute; « ma fin apprendra combien sont fai« blés les rois, lorsqu'ils veulent lutter
Pàgina 361 - Quoiqu'il eût un grand talent comme général , il regardait l'amélioration de son vaste royaume comme un objet plus noble et plus digne de lui que des conquêtes : il s'occupa du commerce de la Perse plus que ne l'avait fait aucun autre monarque ; et ses plans sont presque tous faits pour montrer la grandeur de son génie. Il construisit une foule de ponts, des...
Pàgina 314 - Dans cet heureux tems est venu d'Europe, de sapleiae » volonté , me trouver dans ce pays un gentilhomme dis» lingué , sir Anthony Sherley : or , vous tous , princes qui » croyez en Jésus-Christ , sachez que c'est lui qui a fait naître » l'amitié entre vous et moi. Nous avions aussi déjà eu ce » désir , mais personne ne se présentait pour ouvrir la voie et » pour éloigner les obstacles qui me séparaient de vous ; il n'j
Pàgina 225 - Cependant le personnage qui l'a commise a été vanté par les historiens et les poètes comme un demi-dieu ; et plusieurs de ces écrivains , non...
Pàgina 291 - Bidlîcy s'accordent parfaitement avec celles du major général Malcolm (Hist. de Perse, T. II, p. 293), qui dit positivement: «Le chef des Tartares de Kapchak (lisez Tatares du Q'aptchâq) nommé Adil GJieriah (lisez Guirai), qui avait attaqué Ghilan (le Guilân), fut battu, fait prisonnier, ensuite tué.

Informació bibliogràfica