 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1720 - 266 pàgines
...maniére ; je croi •auffi qu'elle penfâ qu'il ne luiplaifoit que comme un Beau-Frere , quoi qu'il lui plût peut-être d'avantage : mais enfin comme ils étoient tous deux infiniment aimables , 8c tous deux nez avec des difpofitions galantes , qu'ils fe voypient tous leç jours , «u milieu... | |
 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1812 - 272 pàgines
...Soissons qui étoit alors l'objet de la jalousie dela reine et de l'aversion de la reine-mère, et ne pensa plus qu'à plaire au roi comme belle-sœur:...aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisoit que comme un beau-trère, quoiqu'il lai plût peut-être davantage : mais on fin comme ils étoient tous deux infiniment... | |
 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1825 - 458 pàgines
...reine et de l'aversion de la reine-mère, et ne pensa plus qu'à plaire au roi comme belle -sœur. Je crois qu'elle lui plut d'une autre manière; je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisait que comme un beaufrère, quoiqu'il lui plût peut-être davantage; mais, enfin, comme ils... | |
 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1825 - 460 pàgines
...Je crois qu'elle lui plut d'une autre manière; je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisait que comme un beaufrère, quoiqu'il lui plût peut-être davantage; mais, enfin, comme ils étaient tous deux infiniment aimables, et tous deux nés avec des dispositions galantes; qu'ils se... | |
 | 1828 - 490 pàgines
...Soissons, qui étoit alors l'objet de la jalousie de la Reine et de l'aversion de la Reine mère, et ne pensa plus qu'à plaire au Roi comme belle-sœur....autre manière ; je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne Jui plaisoit que comme un beau-frère, quoiqu'il lui plût peutêtre davantage : mais enfin comme ils... | |
 | Petitot (M., Claude-Bernard) - 1828 - 488 pàgines
...Soissons, qui étoit alors l'objet de la jalousie de la Reine et de l'aversion de la Reine mère, et ne pensa plus qu'à plaire au Roi comme belle-sœur....qu'elle lui plut d'une autre manière; je crois aussi qu'elle.pensa qu'il ne lui plaisoit que comme un beau-frère, quoiqu'il lui plût peutêtre davantage... | |
 | Madame de La Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne) - 1832 - 1204 pàgines
...reine et de l'aversion de la reine-mère, et ne pensa plus qu'à plaire au roi comme belle -sœur. Je crois qu'elle lui plut d'une autre manière ; je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisait que comme un beaufrère, quoiqu'il lui plût peut-être davantage; mais , enfin , comme ils... | |
 | 1836 - 802 pàgines
...se lia avec la comtesse de « Soissons... et ne pensa plus qu'à plaire au roi comme belle<t sœur; je crois qu'elle lui plut d'une autre manière, je crois « aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisait que comme un beau-frère, « quoiqu'il lui plût peut-être davantage; mais enQn, comme ils... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - 1840 - 756 pàgines
...Soissons , qui étoit alors l'objet de la jalousie de la Reine et de l'aversion de la Reine mère , et ne pensa plus qu'à plaire au Roi comme belle-sœur....crois qu'elle lui plut d'une autre manière ; je crois iiussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisoit que comme un beau-frère, quoiqu'il lui plût peut-être... | |
 | Charles-Augustin Sainte-Beuve - 1841 - 518 pàgines
...devait être, j'imagine, celui-ci : « Elle « (Madame) se lia avec la comtesse de Soissons... i et ne pensa plus qu'à plaire au roi comme « belle-sœur;...manière, je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne lui « plaisait que comme un beau-frère, quoiqu'il lui « plût peut-être davantage; mais enfin, corn... | |
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Reine mère, et ne pensa plus qu'à plaire au Roi comme belle-sœur. Je crois qu'elle lui plut d'une autre manière; je crois aussi qu'elle pensa qu'il ne lui plaisait que comme un beau-frère, quoiqu'il lui plût peutêtre davantage : mais enfin, comme... 
