Histoire de la Révolution française, Volum 2Furne, Jouvet, 1872 |
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Histoire de la Révolution française: accompagnée d'une histoire de la ... Adolphe Thiers Visualització completa - 1823 |
Frases i termes més freqüents
10 août armée arrêté Autrichiens avaient bataillons Bertrand de Molleville Brissot Brunswick c'était Camille Desmoulins camp Chabot Châlons château chef citoyens clubs coalisés Coblentz comité commandant commissaires commune confiance conseil Constitution constitutionnels cour Croix-aux-Bois danger Danton déclarer décret demande département députés devait Dillon directoire dispositions Dumouriez émigrés enfin ennemis envoyé fallait famille royale faubourg fédérés force française garde nationale général Gironde girondins Grand-Pré guerre Islettes jacobins jour journée Juillet Juin Kellermann l'Argonne l'armée l'Assemblée nationale l'ennemi l'insurrection Lafayette législative lettre liberté Longwy Louis XVI Luckner madame Campan Maillard maire Majesté Marat marche menacés ment Metz mille hommes ministres moyens municipalité n'avait n'était nation officiers patrie patriotes Pétion pétition peuple porter pouvait pouvoir prêtres assermentés prince prisonniers prisons projet Prusse Prussiens puissances reine retraite réunir révolution Robespierre Roland s'était Sainte-Menehould sanction sauver Sedan Septembre 1792 serait serment seul sieur Santerre sûreté tion troupes trouvait Valmy Vergniaud veto voulait
Passatges populars
Pàgina 151 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Pàgina 85 - Si cette loi n'est mise en vigueur, les départements seront forcés de lui substituer, comme ils font de toutes parts, des mesures violentes, et le peuple irrité y suppléera par des excès. «Les tentatives de nos ennemis, les agitations qui se sont manifestées dans...
Pàgina 401 - ... ou le chef ; c'est trahir sa patrie ; c'est se proclamer l'ennemi du genre humain ! La nation française devait croire que des vérités si simples seraient senties par tous les princes, et que, dans le dix-huitième...
Pàgina 318 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière...
Pàgina 206 - Enfin, Leurs Majestés, ne pouvant reconnaître pour lois en France que celles qui émaneront du roi, jouissant d'une liberté parfaite, protestent d'avance contre l'authenticité de toutes les déclarations qui pourraient être faites au nom de Sa Majesté Très...
Pàgina 42 - Qu'elles y pénètrent tous les cœurs. Que tous ceux qui l'habitent sachent que notre Constitution n'accorde l'inviolabilité qu'au roi. Qu'ils sachent que la loi y atteindra sans distinction tous les coupables, et qu'il n'y sera pas une seule tête, convaincue d'être criminelle, qui puisse échapper à son glaive. Je demande qu'on mette aux voix le décret d'accusation.
Pàgina 378 - Pour expliquer cette conduite en apparence si extraordinaire, il importe de se rappeler qu'une des choses qui ont été le plus fortement recommandées aux prêtres non assermentés par les hommes habiles qui ont dirigé cette grande entreprise de religion, est de s'abstenir de toute communication avec les prêtres qu'ils appellent intrus et usurpateurs, de peur que le peuple, qui n'est frappé que des signes sensibles, ne s'habituât enfin à ne voir aucune différence entre des prêtres qui feraient...
Pàgina 202 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Pàgina 205 - Tuileries est forcé ou insulté, que s'il est fait la moindre violence, le moindre outrage à Leurs Majestés le roi, la reine et la famille royale, s'il n'est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté...
Pàgina 153 - Était-ce nous défendre que d'écarter les projets tendant à fortifier l'intérieur du royaume, ou de faire des préparatifs de résistance pour l'époque où nous serions déjà devenus la proie des tyrans?