| Louis de Rouvroy de Saint-Simon - 1791 - 616 pàgines
...jamais sentir , qui les mettoît à l'aise , et qui sembloit enchanter, de façon qu'on ne «• pouvoit le quitter , ni s'en défendre , ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avoit au dernier degré, qui lui tint ses amis si étroitement attachés... | |
| Louis-François de Bausset - 1809 - 592 pàgines
...jamais sentir ; qui les mettait à » l'aise, et qui semblait enchanter; de façon » qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni » ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent » si rare et qu'il avait au dernier degré, qui lui » tint ses amis si étroitement... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1817 - 448 pàgines
...mais sentir; qui les mettoit à l'aise , et qui sem» bloit enchanter ; de façon qu'on ne pouvoit le » quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à » le retrouver. C'est ce talent si rare et qu'il avoit » au dernier degré, qui lui tint ses amis si étroi» tement... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 458 pàgines
...faire jamais sentir , qui les mettoit à l'aise , et qui sembloit enchanter, de façon qu'on ne pouvoit le quitter, ni s'en défendre , ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, qu'il avoit au dernier degré, qui lui tint ses amis si étroitement attachés... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1829 - 508 pàgines
...faire jamais sentir, qui les mettait à l'aise et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint ses amis si entièrement attachés... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - 1833 - 548 pàgines
...l'aire jamais sentir, qui les mettait à. l'aise, et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint ses amis si entièrement attachés... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - 1833 - 530 pàgines
...faire jamais sentir, qui les mettait à l'aise, et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint ses amis si entièrement attachés... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - 1833 - 534 pàgines
...faire jamais sentir, qui les mettait à l'aise, et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint ses amis si entièrement attachés... | |
| J. B. Maigrot - 1837 - 676 pàgines
...faire jamais sentir ; qui les mettait à l'aise et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter ni s'en défendre , ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare , et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint ses amis si étroitement attachés... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 510 pàgines
...faire jamais sentir, qui les mettait à l'aise et qui semblait enchanter, de façon qu'on ne pouvait le quitter, ni s'en défendre, ni ne pas chercher à le retrouver. C'est ce talent si rare, et qu'il avait au dernier degré, qui lui tint tousses amis si entièrement... | |
| |