Oeuvres complètes de Pierre de Bourdeille: Couronnels françois. Discours sur les duelsChez Mmme Ve J. Renouard, 1873 |
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Frases i termes més freqüents
advant advisé armes aussitost avecqu avoient avoit avoit esté avoit faict aymé baron battaille battre beau belle Bourdeille Brantôme brave et vaillant Brissac Bussy c'estoit capitaine celuy certes ceste cheval chevallier combat commandé compaignie comte conte de Brissac coup couronnel d'Espernon d'Estrozze dame despuis devoit disoit dist dudict ennemy espaignol espée estant estez estoient estoit estonné estre eust faict faisoit falloit falut François Ier frère fussent fust esté Gascons gens gentil gentilhomme grandz guerre Guyze hautz homme honneste infanterie j'ay dict j'ay veu jamais Jarnac l'admiral l'avoit l'ay l'espée ledict luy avoit luy donna maistres de camp mareschal mesmes Monsieur monstra Montluc mort mourut n'eust parmy parolles Piedmont poinct pourtant pouvoit prince qu'ilz querelle quoy raison reyne roy François roy Henry royaume de Naples s'en Sarlabous sçavoir sçay sceu seigneur seroit servy soldat souvant Strozzi subject tousjours très-bien vaillans vouloit Voylà vray
Passatges populars
Pàgina 397 - ... qu'aller à vous, je me fusse jetté « en terre en signe d'humilité que je vous dois, et le « bras nud, et la teste nue, je fusse allé à vous pour « m'essayer à vous faire courir aussi grande fortune « comme vous me l'eussiez faicte courir; et si j'en « eusse eschappé, je m'en fusse allé jactant et vantant • « par tout le monde de m'estre battu contre le plus « brave et vaillant prince de la chrestienté, et avoir
Pàgina 389 - Monsieur qu'en 1575, lorsque Son Excellence alla à Dreux, le duc de Nevers s'étoit vanté que, suivant l'exprès commandement de SM, il l'eût ramené vif ou mort, si le duc de Montpensier l'eût voulu seconder ; desquelles paroles le duc de Nevers lui envoya un démenty par Launay, gentilhomme de sa suite.
Pàgina 101 - Lyon (17 janvier 1601) lui assura la possession en échange de la Bresse , du Bugey, du Valromey et du pays de Gex qu'il céda à Henri IV.
Pàgina 63 - Mais il ne faut point doubler qu'il y en avoit plusieurs bien mouchez et ballaffrez, et par le nez et par les joues, d'autant que mesprisé et vilipendé estoit celuy grandement qui ne couchast en joue. Si bien qu'il y en eust eu plusieurs bien mouchez d'advantage, sans un honneste gentilhomme , que je ne nommeray point de peur de me gloriffier, qui trouva la façon à coucher contre l'estomach, et non contre l'espaule, comm...
Pàgina 311 - Ma poi che °1 sol avea passato il monte, E cominciossi a far il ciel stellato, Prima verso del re parlava il Conte : "Che farem, disse, che '1 giorno n'è andato?" Disse Agricane, con parole pronte : " Ambi ci poseremo in questo prato, E domattina come il giorno appare, Ritorneremo insieme a battagliare ". Così d...
Pàgina 48 - Majesté; néanmoins étant allé à cet effet, fut trouvé qu'il les avait levées et arrestées des deniers du roy, pour venir au secours du prince de Condé et de ses partisans, tenans la Fère et autres places contre le roy.
Pàgina 92 - Im ici cens de ces pauvres créatures, qui, piteusement crians à l'ayde, furent toutes noyées par trop grande cruauté , laquelle ne fut jamais trouvée belle de nobles cœurs, et mesmes des dames de la court, qui l'en abhorarent estrangemenl et l'advisarent longtemps de travers.
Pàgina 70 - Blois par jugement des chevaliers de l'ordre (a) , qui lui firent son procès ; par lequel il fut convaincu et atteint d'avoir , l'été précédent , pris argent du Roy pour aller en Allemagne lever quelques cornettes de reistres pour le service de Sa Majesté. Néanmoins, étant allé à cet effet...
Pàgina 94 - ... que tirer incessamment; et avoit deux harquebuz à rouet et une à mesche, et sa femme et un vallet près de luy, qui ne luy servoient que de charger ses harquebuz, et luy de tirer, si bien qu'il en perdoit le boire et le manger. Il fut pris; Monsieur, frère du roy, le voulut voir, et pour avoir tué un si grand personnage commanda qu'il fust pendu. J'avois grand...
Pàgina 181 - ... la lance tout au travers du corps, et l'abbattit de son cheval par terre. Lors le comte descendit et luy coupa la teste laquelle il présenta au roy qui l'accepta de bon cœur, et en fut très-joyeux, comme s'il luy eust fait présent d'une cité.