OEuvres complètes de Voltaire: Contes en vers. Satires. Épîtres. Pośies mêlées. 187

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Garnier frères, 1877
 

Continguts

Impromptu à mademoiselle de Charolois peinte en habit de cordelier
477
A M le duc de Richelieu sur sa réception à lAcadémie Décembre 1720
478
A madame de vers 1722
479
Impromptu à M le comte de Vindisgratz 1722
480
Impromptu à madame la duchesse de Luxembourg qui devait souper avec M le duc de Richelieu
481
A madame de Luxembourg en lui envoyant la Henriade 1724
482
A madame de
483
Impromptu écrit sur un cahier de lettres de Mme la duchesse du Maine et de M Houdard de Lamotte qui avait perdu la vue
484
A madame la maréchale de Villars en lui envoyant la Henriade
485
A M labbé Couet grandvicaire du cardinal de Noailles en lui envoyant la tragédie de Mariamne 20 août 1725
486
Inscription pour une statue de lAmour dans les jardins de Maisons 487
487
A madame de Nointel
488
Chanson pour Mile Gaussin le jour de sa fète 25 août 1731
489
Épigramme sur labbé Terrasson 1731
490
A M le maréchal de Richelieu en lui envoyant plusieurs pièces déta chées 1731
491
Madrigal Janvier 1732
492
A mademoiselle Aissé en lui envoyant du ratafia pour lestomac 1732
493
A M Bernard
494
A la même
495
A M Clément de Dreux 1746
533
Vers récités par une pensionnaire du couvent de Beaune avant
539
A M dArnaud qui lui avait adressé des vers trèsflatteurs
545
A M Grétry sur son opéra du Jugement de Midas représenté sans
602
Sur les Anglais
608
Épître connue sous le nom des Vous et des
626
A M LE DUC DE RICHELIEU
627
A mademoiselle Lecouvreur 1719
629
A M de Verrières 1736
631
CVII
635

Frases i termes més freqüents

Passatges populars

Pàgina 107 - D'être au collège un bel esprit mondain, Et dans le monde un homme de collège ; Gresset dévot ; longtemps petit badin, Sanctifié par ses palinodies, II prétendait avec componction Qu'il avait fait jadis des comédies, Dont à la Vierge il demandait pardon. — Gresset se trompe, il n'est pas si coupable : Un vers heureux et d'un tour agréable Ne suffit pas ; il faut une action, De l'intérêt, du comique, une fable, Des mœurs du temps un portrait véritable, Pour consommer cette œuvre du...
Pàgina 91 - Sachez surtout que le luxe enrichit Un grand État, s'il en perd un petit. Cette splendeur, cette pompe mondaine, D'un règne heureux est la marque certaine.
Pàgina 363 - Vous qui me présentez dans vos enclos divers Ce qui souvent manque à mes vers, Le mérite de l'art soumis à la nature ; Empire de Pomone et de Flore sa sœur, Recevez votre possesseur ; Qu'il soit, ainsi que vous, solitaire et tranquille.
Pàgina 271 - Qu'a tissus la Savonnerie, Ceux que les Persans ont ourdis, Et toute votre orfèvrerie, Et ces plats si chers que Germain A gravés de sa main divine, Et ces cabinets où Martin A surpassé l'art de la Chine; Vos vases japonais et blancs, 23...
Pàgina 529 - Souvent un peu de vérité Se mêle au plus grossier mensonge : Cette nuit, dans l'erreur d'un songe, Au rang des rois j'étais monté. Je vous aimais, princesse, et j'osais vous le dire! Les dieux à mon réveil ne m'ont pas tout ôté; Je n'ai perdu que mon empire.
Pàgina 83 - Regrettera qui veut le bon vieux temps, Et l'âge d'or, et le règne d'Astrée, Et les beaux jours de Saturne et de Rhée, Et le jardin de nos premiers parents: Moi je rends grâce à la nature sage Qui, pour mon bien, m'a fait naître en cet âge Tant décrié par nos tristes frondeurs : Ce temps profane est tout fait pour mes mœurs J'aime le luxe, et même la mollesse, Tous les plaisirs, les arts de toute espèce, La propreté, le goût, les ornements : Tout honnête homme a de tels sentiments.
Pàgina 270 - Que les agréments de ton âge, Un cœur tendre, un esprit volage, Un sein d'albâtre, et de beaux yeux. Avec tant d'attraits précieux, Hélas! qui n'eût été friponne? Tu le fus, objet gracieux; Et (que l'Amour me le pardonne !) Tu sais que je t'en aimais mieux.
Pàgina 449 - Mais sur le point d'être jeté Au fond de la nuit éternelle, Comme tant d'autres l'ont été, Tout ce que je vois me rappelle A ce monde que j'ai quitté. Si vers le soir un triste orage Vient ternir l'éclat d'un beau jour, Je me souviens qu'à votre cour Le temps change encor davantage.
Pàgina 403 - C'est le sacré lien de la société, Le premier fondement de la sainte équité, Le frein du scélérat, l'espérance du juste. Si les cieux, dépouillés de son empreinte auguste, Pouvaient cesser jamais de le manifester, Si Dieu n'existait pas, il faudrait l'inventer.
Pàgina 446 - J'ai vécu plus que toi ; mes vers dureront moins ; Mais au bord du tombeau je mettrai tous mes soins A suivre les leçons de ta philosophie, A mépriser la mort en savourant la vie, A lire tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on boit d'un vin vieux qui rajeunit les sens.

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