Histoire de la Révolution Française, Volum 4Lebeau-Ouwerx, 1828 - 10 pàgines |
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Histoire de la Révolution Française, Volum 4 Marie Joseph Louis Adolphe Thiers Visualització completa - 1828 |
Frases i termes més freqüents
10 août accusation Applaudi applaudissemens aristocrates armée armes arrêter assemblée assignats avaient Barrère bataillons Belgique Beurnonville Brissot Buzot c'était cent citoyens club comité de salut commissaires commission des douze commune complot conspirateurs convention nationale cordeliers côté d'Orléans Danton déclare décret déja demande départemens députés désordre devait dit-il Dumouriez enfin ennemis événemens exciter exécutif fallait force Garat général Gensonné girondins Guadet guerre Hollande insurrection j'ai jacobins jour journée l'armée l'assemblée l'ennemi l'insurrection laisser Lanjuinais liberté Louvet maire mande Marat mée membres menace ment mesures Meuse mille hommes ministre Miranda montagnards montagne mouvemens moyens municipalité n'avait n'était naire Neerwinden Pache parole patrie patriotes Pétion petite Gette pétition pétitionnaires peuple Pitt porter pouvait président projet propose propositions Racour républicains république résistance reste réunir révolution Robespierre s'écrie s'était salle salut public sans-culottes sauver séance sections serait seul société sur-le-champ suspects tion toyens tribunal révolutionnaire tribunes troupes tumulte tyrans Vendée vention Vergniaud voulait
Passatges populars
Pàgina 122 - Je me suis retranché dans la citadelle de la raison ; j'en sortirai avec le canon de la vérité, et je pulvériserai les scélérats qui ont voulu m'accuser.
Pàgina 333 - ... qui peuvent en résulter? Nos adversaires veulent effrayer tout ce qui a quelque propriété ; ils veulent persuader que notre système de liberté et d'égalité est subversif de tout ordre , de toute sûreté. <i Le peuple doit se lever , non pour recueillir du sucre , mais pour terrasser les brigands.
Pàgina 342 - C'est quand toutes les lois sont violées, c'est quand le despotisme est à son comble, c'est quand on foule aux pieds la bonne foi et la pudeur, que le peuple doit s'insurger. Ce moment est arrivé : nos ennemis oppriment ouvertement les patriotes; ils veulent, au nom de la loi, replonger le peuple dans la misère et dans l'esclavage.
Pàgina 318 - Le comité de surveillance lança en effet un mandat d'arrêt contre le ministre Roland ; c'était le 4 , et les massacres duraient encore. Danton en fut instruit ; il vint à la mairie ; il était avec Robespierre ; il s'emporta avec chaleur contre cet acte arbitraire et de démence : il aurait perdu non pas Roland , mais ceux qui l'avaient décerné : Danton en provoqua la révocation ; il fut enseveli dans l'oubli.
Pàgina 287 - Barbaroux et autres meneurs, étaient sans doute de la fête, puisqu'ils sont du conciliabule. Avant de rendre compte de notre entretien avec Dumouriez, je m'arrête ici un instant pour faire, avec le lecteur judicieux, quelques observations qui ne seront pas déplacées. Conçoit-on que ce généralissime de la République, qui a laissé échapper le roi de Prusse à Verdun, et qui a capitulé avec l'ennemi, qu'il pouvait forcer dans ses camps et réduire à mettre bas les armes, au lieu de favoriser...
Pàgina 342 - Je déclare qu'ayant reçu du peuple le droit de défendre ses droits , je regarde comme mon oppresseur celui qui m'interrompt , ou qui me refuse la parole , et je déclare que , moi seul , je me mets en insurrection contre le président, et contre tous les membres qui siègent dans la convention. (Applaudi.
Pàgina 300 - ... moins que vous m'avez données, et les trois Assemblées nationales ont pris la peine de m'apprendre que les meilleurs patriotes haïssent encore plus leurs ennemis qu'ils n'aiment leur patrie. Mais j'ai une question à vous faire, et je vous prie de vous recueillir avant de me répondre : N'avez-vous aucun doute sur tout ce que vous venez de me dire? — Aucun. » Je le quittai, et me retirai dans un long étonnement et dans une grande épouvante de ce que je venais d'entendre. Quelques jours...
Pàgina 315 - ... assidu à toutes les conférences, il s'immisçait dans toutes les affaires; il parlait , il ordonnait en maître ; je m'en plaignis hautement à la commune , et je terminai mon opinion par ces mots: Marat est ou le plus insensé ou le plus scélérat des hommes. Depuis je n'ai jamais parlé de lui.
Pàgina 251 - Oui, je vais conclure, et contre vous; contre vous qui, après la révolution du 10 août, avez voulu conduire à l'échafaud ceux qui l'ont faite ; contre vous qui n'avez cessé de provoquer la destruction de Paris ; contre vous qui avez voulu sauver le tyran; contre vous qui avez conspiré avec Dumouriez; contre vous qui avez poursuivi avec acharnement les mêmes patriotes dont Dumouriez demandait la tête...
Pàgina 24 - ... ministrations provisoires, pour fraterniser « avec elles, tenir les comptes de la république, « et exécuter le séquestre décrété. Point de de« mi-révolution, ajoutait Cambon.Tout peuple « qui ne voudra pas ce que nous proposons ici « sera notre ennemi, et méritera d'être traité « comme tel. Paix et fraternité à tous les amis « de la liberté, guerre aux lâches partisans du « despotisme; guerre aux châteaux , paix aux