| 1861 - 828 pàgines
...Conseil de la Commune ; je me rends de là à » l'Hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des » citoyens assez paisibles obstruaient la rue...spectacle ne s'effacera de mon » cœur ! Je vois deut officiers municipaux revêtus de » leur écharpe ; je vois trois hommes tranquillement assis... | |
| Louis Marie Prudhomme - 1797 - 654 pàgines
...même-tems que tout .est fini. Je me rends à l'hôtel de la Force avec plu;sieurs de mes collègues. Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur...officiers 'municipaux , revêtus de leur écharpe , avec trois autres hommes assis devant une table , avec les registres . d'écrous , appelant les -prisonniers... | |
| Louis Marie Prudhomme - 1797 - 280 pàgines
...même-tems que tout est fini. Je me rends à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mon cœur ! Je vois deux officier! municipaux , revêtus de leur écharpe , avec trois autres hommes assis devant une table,... | |
| Guillaume N. Lallement - 1820 - 556 pàgines
...collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte ; j'entre... Non , jamais...tranquillement assis devant une table , les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux , faisant l'appel des prisonniers ; d'autres hommes les interrogeant... | |
| Archille François Leonor marquis de Jouffroy d'Abbans - 1820 - 478 pàgines
...censure ; elle reçut même des applaudissemens. » Je me rends à l'hôtel de la Force ; j'entre. ... Je vois deux » officiers municipaux , revêtus de...tranquillement assis devant une table , les registres » d'écrous ouverts et sous leurs yeux, faisant l'appel des prison» niers; d'autres hommes les interrogeant;... | |
| Lallement (M., Guillaume) - 1820 - 538 pàgines
...conseil de la commune; je me rends de là à l'hôtel de la force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte; j'entre... INon , jamais ce spectacle ne s'effacera de mou cœur... | |
| Guillaume N. Lallement - 1820 - 536 pàgines
...collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très faible garde était à la porte; j'entre... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mou cœur ! Je vois deux officiers municipaux revêtus de leur écharpe; je vois trois hommes tranquillement... | |
| 1821 - 548 pàgines
...conseil de la commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui...tranquillement assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeux, faisant l'appel des prisonniers ; d'autres hommes les interrogeant... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 550 pàgines
...conseil de la commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui...j'entre.... Non , jamais ce spectacle ne s'effacera de mou cœur ! Je vois deux officiers municipaux revêtus de leur écharpe ; je vois trois hommes tranquillement... | |
| Adolphe Thiers - 1824 - 386 pàgines
...conseil de la commune ; je me rends de là a l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Dès citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit...tranquillement assis devant une table, les registres d'écrous ouverts et sous leurs yeusr, faisant l'appel des prisonniers; d'autres hommes les interrogeant;... | |
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