 ... de Meaux, en butte à la calomnie. Rien ne m'étonne de votre part. Vous avez le zèle d'un véritable ministre des autels, et le cœur d'un Français de la vieille monarchie. Vous excitez mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de nos...  Mémoires de Grégoire: ancien évêque de Blois ... - Pàgina 229per Grégoire, Hippolyte Carnot - 1837 - 4 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
 | François Babié de Bercenay, Sulpice Imbert comte de La Platière, Helen Maria Williams - 1803 - 348 pàgines
...mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs; ils attaquent à la fois le trône et l'autel , et vous les défendez l'un...l'autre. Il ya quelques jours, sans votre imperturbable sens froid, sans vos ingénieuses réparties , je perdois un François totalement dévoué à la cause... | |
 | François Babié de Bercenay, Sulpice Imbert de La Platière - 1803 - 386 pàgines
...mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de no§ ennemis communs; ils attaquent à la fois le trône et l'autel, et vous les défendez l'un et...l'autre. Il ya quelques jours, sans votre imperturbable sang froid, sans vos ingénieuses réparties, jeperdois un Français totalement dévoué à la cause... | |
 | François Babié de Bercenay, Sulpice Imbert comte de La Platière - 1803 - 376 pàgines
...imperturbable sang froid, sans vos ingenieuses réparties , je perdais un français totalement tiévoué à la cause de son roi , et l'église un de ses défenseurs les plus éloquens. Daignez songer que noua avons besoin de vous ; que vous nous êtes nécessaire, et qu'il n'est pas toujours utile et toujour»... | |
 | Louis XVI (roi de France.) - 1803 - 418 pàgines
...mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs; ils attaquent à la fois le trône et l'autel, et vous les défendez l'un et...l'autre. Il ya quelques jours, sans votre imperturbable sang froid, sans vos ingénieuses réparties, jeperdois un Français totalement dévoué à la cause... | |
 | François Babié de Bercenay, Sulpice Imbert comte de La Platière - 1817 - 518 pàgines
...mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs; ils attaquent à k fois le trône et l'autel, et vous les défendez. l'un, et l'autre. Il ya quelques jours ^ sans voire imperturbable sang-froid, sans vos ingenieuses reparties, je perdais un Francais totalement dévoué... | |
 | Jean Siffrein Maury - 1827 - 436 pàgines
...mon admiration ; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs ; ils attaquent à la fois le trône et l'autel , et vous les défendez l'un...Français totalement dévoué à la cause de son roi , et l'Eglise un de ses défenseurs les plus éloqucns. Daignez songer que nous avons besoin de vous , que... | |
 | Louis Sifrein Maury - 1828 - 328 pàgines
...mon admiration; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs ; ils attaquent à la fois le trône et l'autel, et vous les défendez l'un et...votre imperturbable sang-froid, sans vos ingénieuses reparties, je perdois un François totalement dévoué à la cause de son roi, et l'Eglise un de ses... | |
 | Jacques-Pierre Brissot de Warville - 1832 - 466 pàgines
...mon admiration ; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs ; ils attaquent à la fois le trône et l'autel , et vous les défendez l'un et l'autre. Il ya quelques jours , sans votre impertubable sangfroid , sans vos ingénieuses réparties , je perdais un Français totalement dévoué... | |
 | Tyrtée Tastet - 1844 - 1012 pàgines
...l'un el l'autre. Il ya quelques jours, sans votre imperturbable sangfroid, vos ingénieuses reparties, je perdais un français totalement dévoué à la cause de son roi, et l'Eglise un de ses défenseurs les plus éloquents. Daignez songer que nous avons besoin de vous, que... | |
 | Tyrtée Tastet - 1855 - 592 pàgines
...mon admiration ; mais je redoute pour vous la haine de nos ennemis communs. Ils attaquent à la fois le trône et l'autel, et vous les défendez l'un et...quelques jours, sans votre imperturbable sangfroid, vos ingénieuses reparties, je perdais un français totalement dévoué à lacause de son roi, et l'Eglise... | |
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