| Louis Marie Prudhomme - 1796 - 608 pàgines
...Marseille par Albite et Carteaux ; si on eût seulement fait fusiller comme ici huit cents conspirateurs , et qu'on eût créé une Commission militaire pour...scélérats , nous n'en serions pas où nous en sommes. » Au retour de Barras et Fréron à Marseille , ils prirent un arrêté qui portait que tous les lieux... | |
| Louis Marie Prudhomme - 1796 - 604 pàgines
...seulement fait fusiller comme ici huit cents conspirateurs , et qu'on eût créé une Commis* sion militaire pour condamner le reste des scélérats , nous n'en serions pas où nous en sommes. » Au retour de Barras et Fréron à Marseille f Us prirent un arrêté qui portait que tous les lieux... | |
| Georges Victor Vasselin - 1797 - 398 pàgines
...Marseille par Albitte et Canaux. Si on eût SEULEMENT fait fusiller HUIT CENTS CONSPIRATEURS dès rentrée des troupes, et qu'on eût créé une commission militaire...scélérats , nous n'en serions pas où nous en sommes. »» Sisné Fréron parle de condamnation; eh! descendait-il donc à ces vaines formalités ? Prêtons... | |
| Louis Marie Prudhomme - 1797 - 634 pàgines
...Marseille par Albite et Carteaux ; si on eût seulement fait fusiller comme ici huit cents conspirateurs , et qu'on eût créé une Commission militaire pour...scélérats , nous n'en serions pas où nous en sommes. » Au retour de Earras et Fréron à Marseille, ils prirent un •rrété qui portait que tous les... | |
| Louis Marie Prudhomme - 1797 - 606 pàgines
...Albite et Carteaux; si on eût seulement fait fusiller comme ici huit cents conspirateurs, et (ju'on eût créé une Commission militaire pour condamner le reste des scélérats , nous n'en se; ions pas où nous en sommes.» Au retour de Barras et Fréron à Marseille , ils prirejit un «rrêté... | |
| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Oduards - 1801 - 468 pàgines
...par Albite et par Cartaux ; si on eût fait fusiller , comme ici , huit cents conspirateurs , dès l'entrée des troupes , et qu'on eût créé une commission — militaire pour condamner le reste des scé- AN lérats , nous n'en serions pas ou nous en sommes. Signé FHÉRON. » A cette lecture , mes... | |
| Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - 1803 - 386 pàgines
...été manquées à Marseille : si l'on eût fait fusiller comme ici, huit cents conspirateurs, dès l'entrée des troupes, et qu'on eût créé une commission...n'en serions pas où nous en sommes. Signé, FRÉRON. » Cet bomme aussi odieux fut dénoncé à la fois aux Jacobins qu'il trabissoit, et à la Convention,... | |
| Claude-François Beaulieu - 1803 - 514 pàgines
..., par ^4.lbitte et Carteaux $ si l'on eût fait fusiller, comme ici, huit cents conspirateurs dès l'entrée des troupes , et qu'on eût créé une commission...serions pas où nous en sommes. , Signé, FRÉRON. Après avoir ainsi traité les Toulonnais, les commissaires se rendirent à Marseille , où ils établirent... | |
| Claude-François Beaulieu - 1803 - 532 pàgines
...Marseille, par Albitte et Carteaux ,- si l'on eût fait fusiller, comme ici, huit cents conspirateurs dès l'entrée des troupes , et qu'on eût créé Une commission...n'en serions pas où nous en sommes. Signé) FRÉRON. Après avoir ainsi traité les Toulonnais, les commissaires se rendirent à Marseille , où ils établirent... | |
| Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - 1803 - 386 pàgines
...été manquées à Marseille : si l'on eût fait fusiller comme ici , huit cents conspirateurs , dès l'entrée des troupes , et qu'on eût créé une commission...pour condamner le reste des scélérats , nous n'en serions'pas où nous en sommes. Signé, FRÉRON. » Cet'hionTnïë aussi odieux fut dénoncé 'à la... | |
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