| İbrahim Fehim - 1890 - 126 pàgines
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène sur la terre, n'était pas moins ravissante,...plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait a mes pieds tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour reparaissait toute brillante des constellations... | |
| Antonio Scoppa - 1812 - 610 pàgines
...leur mollesse et leur élasticité'. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante; le jotir bleuâtre et velouté de la lune descendait dans,...pieds, tour. à tour se perdait dans les bois, tour à mm- reparaissait toute brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans... | |
| Antonio Scoppa - 1812 - 614 pàgines
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité'. La scène sur la terre n'était pas moins ravissante:...lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes u'nèbres. La rivière qui coulait a mes pierts , tour à tour se perdait dans les bois, tour à tour... | |
| François-René de Chateaubriand - 1816 - 414 pàgines
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres , et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds , tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| Nicolas Gouin Dufief - 1823 - 634 pàgines
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante ; le jour bleuâtre et velouté de la luue, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 426 pàgines
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds , tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| Timothy Flint - 1828 - 828 pàgines
...mollesse et leur élasticité. 'La scène sur la terre n'était pas moins ravissante: le jour bleu"itre et velouté de la lune, descendait dans les intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds.... | |
| 1834 - 632 pàgines
...ouate éblouissante, si doux à l'œil, qu'on croyait ressentir leur mollesse et leur élasticité. La scène, sur la terre, n'était pas moins ravissante...intervalles des arbres, et poussait des gerbes de lumières jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1834 - 470 pàgines
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois , tour à tour reparoissoit brillante des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1835 - 460 pàgines
...: le jour bleuâtre et velouté de la lune descendoit dans les intervalles des arbres, et poussoit des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui couloit à mes pieds tour à tour se perdoit dans le bois, tour à tour reparoissoit brillante des... | |
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