Poésies de André ChénierG. Charpentier, 1884 - 283 pàgines |
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Frases i termes més freqüents
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Passatges populars
Pàgina 267 - S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? ' L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance: Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle chante et s'élance.
Pàgina 276 - Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Anime la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaie encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour; Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé, sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera mes paupières.
Pàgina 77 - Et puis d'un ton charmant ta lettre me demande Ce que je veux de toi , ce que je te commande ! Ce que je veux ? dis-tu. Je veux que ton retour Te paraisse bien lent; je veux que nuit et jour Tu m'aimes. (Nuit et jour, hélas ! je me tourmente. ) Présente au milieu d'eux, sois seule, sois absente ; Dors en pensant à moi ; rêve-moi près de toi ; Ne vois que moi sans cesse, et sois toute avec moi.
Pàgina 58 - Toujours ce souvenir m'attendrit et me touche, Quand, lui-même, appliquant la flûte sur ma bouche, Riant et m'asseyant sur lui , près de son cœur, M'appelait son rival et déjà son vainqueur. Il façonnait ma lèvre inhabile et peu sûre A souffler une haleine harmonieuse et pure; Et ses savantes mains, prenant mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour les trous du buis sonore.
Pàgina 62 - FILLE du vieux pasteur, qui d'une main agile Le soir emplis de lait trente vases d'argile , Crains la génisse pourpre, au farouche regard, Qui marche toujours seule et qui paît à l'écart. Libre, elle lutte et fuit intraitable et rebelle ; Tu ne presseras point sa féconde mamelle , A moins qu'avec adresse un de ses pieds lié Sous un cuir souple et lent ne demeure plié. (TIRÉ DEMOSCHUS. ) NOUVEAU cultivateur, armé d'un aiguillon , L'Amour guide le soc et trace le sillon ; II presse sous le...
Pàgina 12 - D'un chanteur comme toi vinrent baiser les pieds. — Les barbares! J'étais assis près de la poupe : Aveugle vagabond, dit l'insolente troupe, Chante, si ton esprit n'est point comme tes yeux, Amuse notre ennui; tu rendras grâce aux Dieux. J'ai fait taire mon cœur qui voulait les confondre; Ma bouche ne s'est point ouverte à leur répondre. Ils n'ont pas entendu ma voix, et sous ma main J'ai retenu le Dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils dédaignent Mnémosyne, Puisqu'ils ont...
Pàgina 188 - Changeons en notre miel leurs plus antiques fleurs; Pour peindre notre idée, empruntons leurs couleurs; Allumons nos flambeaux à leurs feux poétiques; Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques!
Pàgina 265 - Paros pour placer ton image Auprès d'Harmodius, auprès de son ami ; Et des chœurs sur ta tombe, en une sainte ivresse, Chanteraient Némésis, la tardive déesse, Qui frappe le méchant sur son trône endormi. Mais la France à la hache abandonne ta tête.
Pàgina 139 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie, D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Pàgina 180 - Il a, dans sa paisible et sainte solitude, Du loisir, du sommeil, et les bois et l'étude, Le banquet des amis , et quelquefois , les soirs , Le baiser jeune et frais d'une blanche aux yeux noirs.