Poésies de André Chénier

Portada
G. Charpentier, 1884 - 283 pàgines
 

Continguts

A ABEL
73
Imité dune idylle de Bion
74
O lignes que sa main que son cœur a tracées
75
Ah je les reconnais et mon cœur se réveille
78
Jeune fille ca cœur avec nous veut se taire
80
AUX DEUX FRÈRES DE PANGE
81
AUX FRÈRES DE PANGE
84
A DE PANGE LAÎNÉ
86
Ainsi vainqueur de Troie et des vents et des flots
89
AU CHEVALIER DE PANGE
91
A Ah portons dans les bois ma triste inquiétude
94
Jai suivi les conseils dune triste sagesse
95
Imité de la XVI idylle de Bion
96
O Muses accourez solitaires divines
97
Souvent le malheureux songe à quitter la vie
100
O jours de mon printemps jours couronnés de rose
102
Ah des pleurs des regrets lisez amis Cest elle
105
AU MARQUIS DE BRAZAIS
106
Mais ne matelle pas juré dêtre infidèle
108
Lart des transports de lâme est un faible interprète 11
110
Reste reste avec nous ò père des bons vins
111
O nuit nuit douloureuse ò toi tardive aurore
114
nest que dêtre roi pour être heureux au monde
116
Reine de mes banquets que Lycoris y vienne
117
Sils nont point de bonheur en estil sur la terre
118
Souffre un moment encor tout nest que changement
119
Non je ne laime plus un autre la possède
121
Et cest Glycère amis chez qui la table est prête
123
De lart de Pyrgotèle élève ingénieux
125
A DE PANGE AÎNÉ
127
A LE BRUN e
128
A DE PANGE AÎNÉ
131
A LE BRUN
133
Hier en te quittant enivré de tes charmes
136
O nécessité dure ô pesant esclavage
138
Allons lheure est venue allons trouver Camille
139
LA LAMPE
142
IXXVIII Je suis né pour lamour jai connu ses travaux
144
AUX DEUX FRÈRES TRUDAINE
147
FRAGMENTS DÉLÉGIES 1 Oh puisse le ciseau qui doit trancher mes jours
151
Eh bien je le voulais Jaurais bien dû me croire
152
Les esclaves dAmour ont tant versé de pleurs 1536
153
La grâce les talents ni lamour le plus tendre
154
Le courroux dun amant nest point inexorable
155
Va sonore habitant de la sombre vallée
156
A LE BRUN ET AU MARQUIS DE BRAZAIS
167
A LE BRUN
174
AU MÊME
175
AU CHEVALIER DE PANGE
180
T LINVENTION
183
HERMÈS
195
SUZANNE
212
LAMÉRIQUE Fragments
222
LART DAIMER
224
LA SUPERSTITION Fragments
231
SUR LA FRIVOLITÉ
233
LE RAT DE VILLE ET LE RAT DES CHAMPS
234
Ainsi lorsque souvent le gouvernail agile
235
Sans parents sans amis et sans concitoyens
236
Laissons là les Anglais
237
Voyez rajeunir dâge en âge
238
SUR LA MORT DUN ENFANT
239
Ah jatteste les cieux que jai voulu le croire
240
Belles le ciel a fait pour les mâles cerveaux
241
Or venez maintenant graves compilateurs
242
HYMNE A LA FRANCE
243
AU BORD DU RHÔNE le 7 juillet 1790
247
La liberté fut comme Hercule en naissant invincible
248
A MARIEJOSEPH DE CHÉNIER
249
BYZANCE
252
Jai vu sur dautres yeux quamour faisait sourire
253
AUX PREMIERS FRUITS DE MON VERGER
254
A FANNY Non de tous les amants les regards les soupirs
256
A LA MÊME Fanny lheureux mortel qui près de toi respire
257
A LA MÊME Mai de moins de roses lautomne
258
A FANNY MALADE
259
VERSAILLES
262
A CHARLOTTE CORDAY
264
LA JEUNE CAPTIVE
267
A MADEMOISELLE DE COIGNY
269
Triste vieillard depuis que pour tes cheveux blancs
270
Un vulgaire assassin va chercher les ténèbres
271
Sa langue est un fer chaud dans ses veines brûlées
272
Quand au mouton bèlant la sombre boucherie
273
Que promet lavenir ? Quelle franchise auguste
274
DERNIERS VERS DU POETE
276
ÉPITRE A ANDRÉ CHENIER par Le Brun
277
HOMMAGE A ANDRÉ CHENIER par M Jules Lefèvre
281
Copyright

Altres edicions - Mostra-ho tot

Frases i termes més freqüents

Passatges populars

Pàgina 267 - S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? ' L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance: Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle chante et s'élance.
Pàgina 276 - Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Anime la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaie encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour; Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé, sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera mes paupières.
Pàgina 77 - Et puis d'un ton charmant ta lettre me demande Ce que je veux de toi , ce que je te commande ! Ce que je veux ? dis-tu. Je veux que ton retour Te paraisse bien lent; je veux que nuit et jour Tu m'aimes. (Nuit et jour, hélas ! je me tourmente. ) Présente au milieu d'eux, sois seule, sois absente ; Dors en pensant à moi ; rêve-moi près de toi ; Ne vois que moi sans cesse, et sois toute avec moi.
Pàgina 58 - Toujours ce souvenir m'attendrit et me touche, Quand, lui-même, appliquant la flûte sur ma bouche, Riant et m'asseyant sur lui , près de son cœur, M'appelait son rival et déjà son vainqueur. Il façonnait ma lèvre inhabile et peu sûre A souffler une haleine harmonieuse et pure; Et ses savantes mains, prenant mes jeunes doigts, Les levaient, les baissaient, recommençaient vingt fois, Leur enseignant ainsi, quoique faibles encore, A fermer tour à tour les trous du buis sonore.
Pàgina 62 - FILLE du vieux pasteur, qui d'une main agile Le soir emplis de lait trente vases d'argile , Crains la génisse pourpre, au farouche regard, Qui marche toujours seule et qui paît à l'écart. Libre, elle lutte et fuit intraitable et rebelle ; Tu ne presseras point sa féconde mamelle , A moins qu'avec adresse un de ses pieds lié Sous un cuir souple et lent ne demeure plié. (TIRÉ DEMOSCHUS. ) NOUVEAU cultivateur, armé d'un aiguillon , L'Amour guide le soc et trace le sillon ; II presse sous le...
Pàgina 12 - D'un chanteur comme toi vinrent baiser les pieds. — Les barbares! J'étais assis près de la poupe : Aveugle vagabond, dit l'insolente troupe, Chante, si ton esprit n'est point comme tes yeux, Amuse notre ennui; tu rendras grâce aux Dieux. J'ai fait taire mon cœur qui voulait les confondre; Ma bouche ne s'est point ouverte à leur répondre. Ils n'ont pas entendu ma voix, et sous ma main J'ai retenu le Dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils dédaignent Mnémosyne, Puisqu'ils ont...
Pàgina 188 - Changeons en notre miel leurs plus antiques fleurs; Pour peindre notre idée, empruntons leurs couleurs; Allumons nos flambeaux à leurs feux poétiques; Sur des pensers nouveaux faisons des vers antiques!
Pàgina 265 - Paros pour placer ton image Auprès d'Harmodius, auprès de son ami ; Et des chœurs sur ta tombe, en une sainte ivresse, Chanteraient Némésis, la tardive déesse, Qui frappe le méchant sur son trône endormi. Mais la France à la hache abandonne ta tête.
Pàgina 139 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie, D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Pàgina 180 - Il a, dans sa paisible et sainte solitude, Du loisir, du sommeil, et les bois et l'étude, Le banquet des amis , et quelquefois , les soirs , Le baiser jeune et frais d'une blanche aux yeux noirs.

Informació bibliogràfica