| Marie-Louise-Victoire marquise de La Rochejaquelein - 1815 - 504 pàgines
...y avait beaucoup de soldats. Je les entendis s'affliger de ne pas avoir de tabac. Je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. « On en vend bien ; mais nous » n'avons pas d'argent, » répondirent-ils. Alors, j'en fis acheter que je leur donnai.... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1816 - 510 pàgines
...il y avait beaucoup de soldats. Je les entendis s'ffligerde ne pas avoir de tabac. Je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. " On en vend bien ; mais nous " n'avons pas d'argent," répondirent-ils. Alors, j'en fis acheter que je leur donnai.... | |
| Marie Louise V. Du Vergier de la Rochejaquelein (marq.) - 1817 - 522 pàgines
...avait beaucoup de soldats • je les entendis s'affliger de ne pas avoir de tabac ; je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. « On en vend bien; mais nous » n'avons pas d'argent, » répondirent-ils. Alors j'en fis acheter, que je leur donnai.... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 668 pàgines
...y avait beaucoup de soldats; je les entendis s'affliger de ne pas avoir de tabac; je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. « On en vend bien; mais nous )i n'avons pas d'argent , » répondirent-ils. Alors j'en fis acheter, que je leur donnai.... | |
| Marie Renée Marguerite de Scépeaux marquise de Bonchamps - 1823 - 652 pàgines
...y avait beaucoup de soldats ; je les entendis s'affliger de ne pas avoir de tabac; je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. « On en vend bien; mais nous » n'avons pas d'argent , » répondirent-ils. Alors j'en fis acheter, que je leur donnai.... | |
| 1823 - 648 pàgines
...y avait beaucoup de soldats; je les entendis s'affliger de ne pas avoir de tabac; je leur demandai s'il n'y en avait pas dans la ville. « On en vend bien; mais nous » n'avons pas d'argent , » répondirent-ils. Alors j'en fis acheter, que je leur donnai.... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1848 - 654 pàgines
...elle les entendit s'atiligcr de ne pas avoir de tabac , dont ils avaient l'habitude, comme les paysans des pays humides en général. Elle leur demanda s'il...royalistes par principe, qui s'étaient réfugiés dans la Vendre plutôt que de se soumettre à la Convention ou à ses maîtres , encore pires qu'elle. Il y... | |
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