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avait vu que la bénédiction du Seigneur s'était répandue sur ses troupeaux depuis que son gendre en ayait la garde. Jacob y consentit, et fixa lui-même les conditions, qui furent acceptées par Laban. Six ans après, Jacob entendit les enfants de Laban qui disaient entre eux: « Jacob >> a pris tout ce qui était à notre père; » il s'est enrichi de ses biens et est » devenu puissant. » Laban, de son côté, ne le voyait plus du même ceil dont il le regardait auparavant. C'est ce qui fit prendre à Jacob la résolution de partir avec tout ce qui lui appartenait d'après les conventions, pendant que son beau-père était allé tondre ses brebis. Jacob avait déjà marché trois jours, quand Laban, averti de son départ, assembla ses enfants et ses serviteurs pour se mettre à sa poursuite. Il l'atteignit, après sept jours de marche, à la montague de Galaad, lorsque celui-ci venait de tendre ses tentes. Dieu, qui protégeait visiblement Jacob, apparut en songe à Laban, et lui défendit de faire aucun mal à son gendre. Laban fit à Jacob les plus vifs reproches d'en avoir agi ainsi avec lui, et ne lui laissa point ignorer quels étaient ses desseins, si le Dieu de ses pères ne s'y était opposé. Il lui reprocha surtout d'avoir dérobé ses idoles. Jacob n'eut pas de peine à se justifier sur tous les points; et, comme il ne savait pas que Rachel eût commis ce larcin, il permit à Laban de faire des recherches dans son bagage. Rachel cacha promptement les idoles sous le bât d'un chameau; et, assise dessus, elle pria son père de l'excuser si elle ne se levait point en sa présence, parce qu'elle en était empêchée par une incommodité. Ainsi les recherches de Laban ayant été éludées, Jacob se plaignit amèrement de l'injustice de son beau-père. Il lui

rappela tout ce qu'il avait fait pour lui, et l'horrible ingratitude dont il avait été payé. Laban, devenu plus traitable, se réconcilia avec Jacob, et offrit avec lui des sacrifices. Ils érigèrent ensemble, en mémoire de cette alliance, un monument qui devait en même temps servir de limite aux invasions de part et d'autre. Laban stipula aussi que Jacob ne prendrait pas de nouvelles femmes, ni de concubines, du vivant de ses filles. Ils se séparèrent contents l'un de l'autre ; Laban embrassa ses enfants, les combla de bénédictions, et s'en retourna dans son pays, l'an 1739 avant J.-C.

L-B-E.

LABARBINAIS-LE- GENTIL voyageur français du xvin. siècle, était, suivant les apparences, né en Bretagne, peut-être à St.-Malo. Cédant au desir de faire fortune et de courir le monde, il s'embarqua sur un navire marchand qui partit de Cherbourg pour le Chili, le 8 août 1714. On arriva, le 4 mars 1715, à la Conception. Le grand nombre de bâtiments français qui se trouvaient dans ce port, ne laissant pas entrevoir l'espérance que les marchandises pussent s'y vendre avantageusement, Le Gentil monta sur un navire de Baïonne qui allait à la Chine; il relâcha dans plusieurs ports de la côte jusqu'à Pisco, et gagna Lima par terre, croyant qu'il tirerait bon parti de sa pacotille dans cette capitale. Il perdit la

moitié de la valeur, convertit le produit en lingots d'argent, et, le 4 mars 1716, il quitta le port de Guacho au nord de Lima. Après avoir touché à Guam, le bâtiment attérit le 9 juin à Emouï, dans la province de Fokien en Chine, séjourna dans ce port jusqu'au 17 février 1717, et passa ensuite cinq mois dans l'ile Bourbon. Son mauvais état le força

d'entrer à San-Salvador au Brésil. Le voyage de Labarbinais finit à Vivarès en Galice. Il alla ensuite par terre à Gènes, où le bâtiment s'était rendu. a J'y trouvai, dit-il, ma troupe en procès; mais, pour les éviter, j'ai pratiqué à la lettre le • précepte de l'Evangile, et j'ai aban> donné le manteau à qui me le demandait... Quand j'aurai fini mes » affaires, peut-être retournerai-je en > France; peut-être aussi resterai-je > en Italie quelques années. La for» tune, que j'ai été chercher si loin, » et que je n'ai pas trouvée, est peutêtre ici cachée et m'attend que »sais-je ? » Il crut devoir à sa nation, ainsi qu'il l'annonce dans sa préface, le fruit de ses observations, et il les publia sous ce titre : Nouveau voyage autour du monde, etc., avec une description de la Chine, Paris, 1728, 3 vol. in-12, cart. et fig.; Amsterdam, 1728; ibid., 1731, 3 vol. in12, fig. Ge voyage est en lettres qui portent la date des temps et des lieux, adressées, ainsi que l'épître dédicatoire écrite de Rome du 24 juillet 1724, au comte de Morville, ministre et secrétaire d'état. La dernière lettre est de Gènes, du 29 juillet 1718: on les lit avec plaisir; le style en est agréable: « Il n'échappe à Le Gentil, dit l'au»teur de l'Histoire des voyages, >> rien qui puisse faire mal juger de » son esprit et de sa bonne foi. » s'abstient généralement de toute espèce de remarques nautiques; et l'on s'aperçoit, en quelques endroits, que même des notions assez communes de la géographie générale lui sont étraugères. Il se borne à la description des lieux qu'il avus, et des mœurs qu'il a observées. Ses réflexions sur le com merce sont d'un homme sensé. Les détails qu'il donne sur Emoni, ont d'autant plus de prix que ce port

est peu fréquenté par les Européens.
Il doit tout ce qu'il raconte de la
Chine, au P. Laureati, missionnaire
jésuite italien, établi dans le Fokien,
et qui rendit de grands services au
navire français. Labarbinais habita
d'ailleurs assez long-temps dans une
pagode près d'Emouï, et fut lié avec
le chef des bonzes. Son livre cou-
tient aussi des particularités intéres-
santes sur plusieurs petites îles du
détroit de la Sonde; enfin sur la colo-
nie de l'île de Bourbon, alors nom-
mée Mascarin, et qui était encore
dans l'enfance.
E-s.
LABARCA ( Vincent CalderON
DE), peintre de portraits et paysagiste
de l'école de Madrid, naquit à Guada-
laxara en 1762. Peut-être descendait-
il de la famille du fameux poète tragi-
que de ce nom (Voy CALDERON DE LA
BARCA). Il apprit l'art de la peinture
sous la direction de François Goya,
qu'il s'efforça d'imiter. Les portraits
qu'il fit, se distinguaient par leur
ressemblance et par la manière dont
ils étaient peints. Ses paysages, qu'il
enrichissait de scènes champêtres tou-
chées avec esprit, étaient exécutés
d'un pinceau fin et plein de grâce. Il
s'était exercé également avec succès
dans le genre historique; et son tablean"
de la Naissance de saint Norbert,
qu'il avait fait pour les prémontrés
d'Avila, promettait à l'Espagne un bon
peintre de plus : mais une mort pré-
maturée l'enleva en 1794, à l'âge
de trente-deux ans seulement. P-s.

LABARRE. V. BArreet Barrière.
LABASTIDE. V. CHINIAG.

1

LABASTIE) JOSEPH BIMARD, baron DE), savant antiquaire, naquit à Carpentras, le 6 juin 1703, de parents d'une ancienne noblesse du Dauphine (1). Il fit ses premières études

(1) C'est dans son fief de la Bastie, on la Bâre,

de Mont Saicon, qu'on a découvert les ruines da

au collège de sa ville natale, et acquit de boune heure l'habitude d'écrire en latin avec une facilité et une pureté remarquables. Ses cours terminés, il prit la résolution de renoncer au monde; mais ses parents s'y opposèrent, et, pour le distraire de cette idée, le firent voyager sous la conduite d'un homme instruit et prudent. Arrivé à Avignon, il trompa la sur veillance de son guide, et se réfugia dans la maison des jésuites, d'où l'on But beaucoup de peine à le faire sortir. Cependant un de ses oncles parvint à calmer son imagination exaltée, et à lui faire accepter une licutenance dans un régiment d'infanterie. La délicatesse de sa santé l'ayant obligé à se démettre de cet emploi au bout de quatre ans, il se décida enfin à suivre la carrière de la magistrature. Il alla donc étudier le droit à l'université de Valence, et il y prit ses grades avec distinction. Un procès considérable qu'eut alors sa famille, le força de se rendre à Grenoble, et il eut de fréquentes occasions d'y voir le président de Valbonnais, qui lui inspira le goût des recherches historiques. L'affaire qui l'occupait ayant été renvoyée à l'examen du parlement de Dijon, il fit plusieurs voyages dans cette ville, où il connut le savant Bouhier, qui lui communiqua bientôt son ardeur pour l'étude de l'antiquité. Un nouveau procès amena Labastie à Paris sur la fin de l'année 1736 la réputation de son savoir l'y avait précédé; et l'académie des inscriptions s'empressa de lui donner le titre d'associé honoraire. Dès-lors tous ses moments furent consacrés à l'étude; il fréquentait assidument les séances de l'académie, et donnait tous ses loisirs à

:

l'ancienne ville de Mons Seleucus. (Voy. l'arsicle LADOUCETTE, dans la Biograph. des hommer vivants-),

l'examen des médailles du cabinet da Roi. L'excès du travail ne tarda pas d'altérer sa santé, déjà si frêle : à la suite d'une maladie qui avait fait trembler pour ses jours, les médecins lui conseillèrent d'aller respirer l'air natal. Il revint à Carpentras dans le courant de l'année 1740. La mort de son père, et celle d'un oncle dont il était l'unique héritier,qui arrivèrent à peu de distance, l'obligèrent, malgré lui, à un travail aussi pénible que fastidieux: quelques contrariétés qu'il éprouva, achevèrent de lui aigrir le sang; la phthysie dont il était attaqué fit des progrès rapides, et enfin il succomba le 5 août 1742, à l'âge de trente-neuf ans. Labastie avait un esprit solide, un jugement sûr et une mémoire très heureuse; il était d'un caractère ferme, et ennemi de toute dissimulation. Fréret a prononcé son éloge, qui est imprimé dans le tome xvi des Memoires de l'académ. des inscriptions. On doit à Labastie une excellente édition de la Science des médailles (par le P. Jobert), Paris, 1739, 2 vol. in-12, augmentée de remarques historiques et critiques, qui en font, pour ainsi dire, un ouvrage entièrement neuf. On a, en outre, de lui: 1. Description de l'amphitheatre de Bordeaux, vulgairement appelé le palais Galien, daus les Mémoires de

acad. tom. xu.- Dissertation sur le souverain pontificat des empereurs romains, ibid. et tom. xv. — Dissertation sur quelques médailles de Probus, ibid. tom. XIII. Remarques sur quelques inscriptions antiques, ibid., tom. xv. — - Dissertation sur la Vie de St. Louis par Joinville, où l'on démontre son authenticité contre l'opinion du P. Hardouin, ibid. · Mémoire sur la Vie de l'éirarque, ibid. et tom. xvi. II. Dissertation au sujet d'une inscrip

tion de l'empereur Albin ; — autre
dans laquelle on examine l'histoire du

consul Titus Didius et de la famille

Didia; Explications sur diverses

inscriptions trouvées dans le Dau-

phine, insérées au Novus thesaur.

inscription., publié par Muratori. III.

Lettre à M. de Valbonais, où l'on

examine une Dissertation ( de Guib)

sur l'Arc de triomphe d'Orange

(dans les Mém. de Trevoux, juillet

et acût 1750, pag. 1214-36, et 1372-

96). L'auteur de cette Dissertation

(J.-F. Guib ou Gibbs, dont nous

avons donné l'article tom. XVII, pag.

514) attribuait ce monument à Do-

mitius Ahenobarbus: le baron de La

bastie, qui l'attribue à Auguste, a été

refuté par Menard (Acad. des ins-

cript., xxvi, M. pag. 335). L'opinion

de Gub a été reproduite avec de nou-

velles preuves dans les Antiq. et

Monum. du dép. de Vaucluse, par

M.Fortia d'Urban, pag. 48.On trouve

aussi du baron de Labastie, dans les

Mem. de Trevoux (nov. 1731, pag.

2017-2027), l'explication de la cu-

neuse inscription C. SENNIUS, etc.,

trouvée à St-Marcel près de Rumilli

en Savoie, par M. Symond, juge-

maje de la province de Genevois, et

qavait échappé aux recherches de

Guichenon et de Spon; mais c'est par

erreur qu'il l'attribue aux habitants

d'Aby, tandis qu'elle ne regarde que

coux d'Albins. (Alb. Beaumout l'a rap-

portee un peu différemment dans sa

Descr. des Alp. grecq. et cottiennes,

1". part., 1, 175, et fig. 48, pl.

10). Labastie a laissé en manus-

cr: une Dissertation très étendue

sur les legions et les cohortes romai-

nes; une Chronologie des rois de

E byte, déterminée par les médailles,

et ritu des Notes (en latin) sur l'ou-

vrage de Gaillard Guiran: Inscriptio-

nes antique urbis et agri Nemausen

sis. Ce dernier manuscrit était conser-
vé dans la bibliothèque de Séguier,

secrétaire de l'académie de Nimes.

LABAT (JEAN-BAPTISTE), reli-

gieux dominicain et voyageur français,

naquità Paris en 1663. Ifit profession

à dix-neufans; enseigna ensuite les ma-

thématiques et la philosophie à Nanci,

et remplit aussi les fonctions de pré-

dicateur. Il était en 1693 au couvent

de la rue Saint-Honoré à Paris. A cette

époque, les supérieurs des ordres

établis dans les Antilles françaises,

écrivirent à leurs confrères en Europe

pour les engager à venir à leur se-

cours, une maladie contagieuse ayant

emporté la plupart des missionnaires;

une de ces lettres tomba entre les

maius de Labat: « Elle me pressa,

» dit il, d'exécuter le dessein que j'a-

» vais formé depuis quelque temps de

» me consacrer aux missions comme

» à un emploi qui convenait tout-à-

» fait bien à ma profession. » Malgré

les efforts que l'on ait pour le retenir,

il partit, s'embarqua le 29 novembre

à la Rochelle, erinenant avec lui plu-

sieurs religieux de son ordre : le 29

janvier 1694, il prit terre à la Marti-

nique. Nommé aussitôt pour remplir

les fonctions de curé de la paroisse de

Macouba, il y resta près de deux ans.

1

fut alors envoyé à la Guadeloupe

pour y faire construire un moulin à eau

dans une habitation de l'ordre. Le gou-

verneur, qui eut occasion d'apprécier

ses connaissances en raathématiques,

le pria de l'accompagner dans la visite

de l'ile pour examiner les points sus-

ceptibles de défense. Quand Labat re-

vint à la Martinique, un autre religieux

s'était établi dans sa cure. Le supérieur

le consola de ce contre-temps par les

marques de confiance dont il le combla,

et le nomma procureur-général de la

mission. Cet emploi mit l'abat à même

certain penchant à la crédulité, que
l'on remarque aussi dans son voyage
d'Amérique. Ce défaut est encore plus
marqué dans la rélation de l'Éthiopie.
Les cartes de ces trois ouvrages sur
l'Afrique, sont dressées par D'Auville.
V. Voyage en Espagne et en Italie,
Paris, 1730, 8 vol. in-12; Amster-
dam, 1731, 8 vol. in-12, figures;
trad. en allemand par C. F. Trötsch,
Francfort, 1758-61, 8 vol. Ge
livre ne contient pas beaucoup de dé-
tails instructifs, à l'exception de ce
qui concerne le gouvernement papal.
Dans sa première excursion, Labat
passa par Saint Marin. On lit encore
avec intérêt ce qu'il dit de cette petite
république, rarement visitée. VI. Me
moires du chevalier d'Arvieux, con-
tenant ses voyages dans l'Asie, la
Syrie, la Palestine et la Barbarie,
la description de ces pays, etc.,
Paris, 1735, 6 vol. in-12 (Voy.
D'ARVIEUX, tom. II, pag. 559);
mal traduit en allemand, Copenhague
et Leipzig, 1753-56, 6 vol. in-8°.
Labat a su reudre intéressants tous les
livres qu'il a publiés. Il choisit avec
beaucoup de discernement les traits
les plus propres à frapper le lecteur,
et entend à merveille les moyens de
captiver l'attention. Il est bien un peu
diffus; mais commeil narre sans préten-
tion, et que sa simplicité est relevée
par un certain agrément de style, on
n'éprouve guère l'impatience ni l'en-
nui en lisant ses ouvrages. L'auteur de
cet article a eu autrefois l'occasion
d'entretenir un dominicain, directeur
des missions françaises dans les An-
tilles. Ce religieux, qui avait conuu
Labat, en parlait comme d'un homme
que son humeur enjouce et ses bonnes
qualités faisaient cherir de ses con-
frères. Quoique la partie botanique des
Voyages du P. Labat ait eté assez âpre-
ment critiquée (1), cependant son zèle

à décrire les productions de la nature,
a fait nommer Labatia, un genre de
la famille des ébénacées qui renferme
deux arbres, l'un de Cuba, l'autre de
Cienne. Ce dernier est le poutarier
d'Aublet.
E-s.
LABAT (PIERRE Daniel), béné-
dictin de la congrégation de St. Maur,
était né à St.-Sever en 1725: il suivit
les traces des hommes laborieux qui
avaient illustré ce corps par leurs sa-
vantes recherches dans les matières
d'antiquité, et surtout d'antiquité ecclé-
siastique. Il coopéra à la collection des
chartes entreprise par ordre du gou-
vernement, et dont le premier vo-
lume parut en 1784. Il seconda dom
Clémencet dans l'édition des œuvres
de S. Grégoire de Nazianze; en dressa
les tables, et fournit la troisième par-
tie de la préface, qui est un exposé
sommaire de la doctrine de ce grand
évêque sur tous les points de la reli-
gion. Il fut ensuite chargé de la
nouvelle collection des conciles de
France, dont il donna le premier vo-
lume en 1789. La moitié du second
etait déjà imprimée, lorsque la révo-
lution vint ôter au laborieux cenobite
les moyens de continuer son travail.
Dom Labat fut d'autant plus sensible
à ce coup, qu'il était fort attaché à sa
congrégation. Il y avait occupé plu-
sieurs places avec distinction. Député
au chapitre général tenu à Marmou-
tier en 1769, en vertu d'un arrêt du
conseil, il y plaida fortement devant
les commissaires du Roi, les évêques
de Seulis et d'Arras, pour la conser-
vation des constitutions anciennes,
qu'un parti puissant et protégé vou-
lait abroger. A l'époque de la révolu-
tion, il faisait partie de la commn-

(1) Observations d'un botaniste habitant des
isles occidentales de l'Amérique, sur les plan-

tes dont parle le P. Labat dans son Voyage
aux istes. (Mém. de Trevoux, juillet 1797, pag.
1303-18.)

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