Etudes religieuses, philosophiques, historiques et littérairesV. Retaux, 1877 |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Frases i termes més freqüents
actes apostolique assez avaient Beaumont Bossuet brahmo-somajisme canons cardinal cardinal de Noailles catholique cause chose chrétienne Christophe de Beaumont civil Clément IX clergé concile concile de Trente condamnation Constantin Cracovie darwinisme déclaration décrets Démétrius devant Dieu dire divine docteur doctrine documents donner doute ecclésiastiques écrit Église Euvres évêques Fausses Décrétales fidèles Formulaire gallicanisme Haeckel hommes ibid jansénistes Jansénius jésuites Jésus Jésus-Christ jour jugement l'abbé l'archevêque l'auteur l'autorité l'Église l'évêque l'histoire l'infaillibilité laisse latin lettre liberté livre Louis XIV Lyon mariage matière ment monde Moscou Ninive nonce œuvre organismes paix pape Parlement paroles Pasteur Pères phénomènes philosophie Pie IX Pologne pontificale Poutivl prélat première présente prêtres prince principe protestants question raison Rangoni religieux religion reste rien romaine Rome Russie s'est sacrement saint Saint-Siége savant Sawicki science sentiments serait seul siècle sorte Souverain Pontife suivant surtout Syllabus synodes tablettes température texte théologie tion trouve tsar Vatican vérité vrai Wielewicki
Passatges populars
Pàgina 47 - ... résultat qui est l'organisation et l'accroissement de l'individu animal ou végétal. Il ya comme un dessin vital qui trace le plan de chaque être et de chaque organe, en sorte que, si, considéré isolément, chaque phénomène de l'organisme est tributaire des forces générales de la nature, pris dans leur succession et dans leur ensemble, ils paraissent révéler un lien spécial; ils semblent dirigés par quelque condition invisible dans la route qu'ils suivent, dans l'ordre qui les enchaîne.
Pàgina 215 - Roi en leurs a conclusions, fait défense à tous ecclésiastiques « de faire aucuns actes tendant au schisme, « notamment de faire aucun refus public des « sacrements sous prétexte de défaut de billet « de confession, ou de déclaration du nom du « confesseur, ou d'acceptation de la bulle Uni...
Pàgina 224 - Ces Grandes Robes et le Clergé sont toujours aux couteaux tirés; ils me désolent par leurs querelles, mais je déteste bien plus les Grandes Robes. Mon Clergé, au fond, m'est attaché et fidèle, les autres voudraient me mettre en tutelle...
Pàgina 201 - Lorsque je lai ai permis de me faire des remontrances sur les édits et déclarations que je lui envoie pour enregistrer, je ne lui ai point donné le pouvoir de les anéantir ou altérer, sous prétexte de les modifier.
Pàgina 745 - Et néanmoins il n'ya pas trois tout-puissants, mais un seul Tout-puissant. Ainsi le Père est Dieu, le Fils est Dieu, le SaintEsprit est Dieu.
Pàgina 402 - En résumé, les faits observés par M. Pasteur, et contestés par MM. Pouchet, Joly et Musset, sont de la plus parfaite exactitude.
Pàgina 225 - Ah ! sire , dit M. de Gontaut , il est bien fort pour que de petits robins puissent l'ébranler — Vous ne savez pas ce qu'ils font et ce qu'ils pensent, reprit le roi : c'est une assemblée de républicains. En voilà, au reste, assez : les choses comme elles sont dureront autant que moi.
Pàgina 110 - ... sur le fait. Voilà ce que je crois pouvoir établir par des raisons invincibles : mais cette discussion vous est, à mon avis, fort peu nécessaire. Vous pouvez sans difficulté dire ma pensée à ceux à qui vous le trouverez à propos, toutefois avec quelque réserve. J'ai appris de l'Apôtre à ne point trahir la vérité, et aussi à ne point donner d'occasion de troubles à ceux qui en cherchent.
Pàgina 110 - Quand on a dit qu'on ne devait ni on ne pouvait avoir à ses jugements sur les points de fait une croyance pieuse*, on a avancé une proposition d'une dangereuse conséquence, et contraire à la Tradition et à la pratique. Comme...
Pàgina 333 - Or, suivit ce prince, je vous veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer, sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir voulu homicider sans raison. Allez-vous-en, retirez-vous; que je ne vous voie plus ici; et, si vous êtes sage, prenez dorénavant en vos entreprises des conseillers plus gens de bien que ceux-là.