Manuel des antiquités romaines, Volum 12

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E. Thorin (A. Fontemoing), 1889
 

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Passatges populars

Pàgina xxxiv - Du polythéisme romain, considéré dans ses rapports avec la philosophie grecque et la religion chrétienne, ouvrage posthume de Benjamin Constant, précédé d'une introduction de J.
Pàgina 69 - Essai historique sur la société civile dans le monde romain et sur sa transformation par le christianisme (Strasburg, 1853; Eng.
Pàgina xx - ... ils rentrèrent plus facilement les uns dans les autres et se laissèrent ramener sans trop de violence à l'unité divine. Une autre observation |importante à faire sur les dieux primitifs de Rome, c'est qu'en même temps qu'ils sont la personnification des forces de la nature, ils ont aussi un aspect moral très prononcé. Jupiter est le père du jour (Diespiter), le dieu du ciel lumineux et serein ; mais il est aussi le représentant de l'équité. On atteste son nom dans les serments et...
Pàgina 88 - Mémoire sur l'état moral et religieux de la société romaine à l'époque de l'apparition du christianisme in Mém.
Pàgina xxi - Ce n'est donc pas, comme dans le christianisme, le pauvre qui est l'élu du Seigneur, c'est le riche. Si l'on trouve que les dieux n'ont pas tenu toutes les conditions du contrat, on s'irrite contre eux et on les maltraite. Quand le peuple apprit la mort de...
Pàgina 322 - ... eo anno in Italia, in Africa, in Sicilia, in Hispania vario eventu acta. Exitu anni Q. Fabius Maximus a senatu postulavit, ut aedern 14 Veneris Erycinae, quam dictator vovisset, dedicare liceret.
Pàgina xxii - Cette faute on l'appelle supers titio, ce qui dépasse la règle établie. Le vrai Romain a horreur de la superstition autant que de l'impiété; il tient ses comptes en règle avec les dieux, il ne veut pas être leur débiteur, mais il ne veut pas non plus leur donner plus qu'il ne doit. Tandis qu'ailleurs la dévotion véritable ne calcule pas, qu'elle est l'élan sans mesure d'une âme reconnaissante qui cherche à dépasser les bienfaits qu'elle a reçus, à Rome on ne tient qu'à payer exactement...
Pàgina 175 - Gallus Aelius ait sacrum esse quodcumque more atque instituto civitatis consecratum sit, sive aedis sive ara sive signum sive locus sive pecunia sive quid aliud quod dis dedicatum atque consecratum sit...
Pàgina 295 - Rerum deinde divinarum habita cura; et quia quaedam publica sacra per ipsos reges factitata erant, necubi regum desiderium esset, regem sacrificolum creant.

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