 | Charles Paul Landon - 1802 - 310 pàgines
...L'hermite mar« chait devant, portant une b^che. Nous commencâmei « à descendre de rochers en rochecs ; la vieillesse et « la mort ralentissaient également...trouvés dans la forêt, et « qui maintenant nous tracait une autre roule, » je me mis à fondre en larmes, etc.... » Roman tTAtala , funérailles.... | |
 | Jean Duchesne - 1831 - 516 pàgines
...; nous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse et la morí ralentissaient nos pas. A la vue du chien qui nous avait trouvés...traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. « Le peintre Claude Gautherot a suivi f1dèlement la pensée du poête; il l'a rendue d'une manière... | |
 | Etienne Achille Réveil - 1831 - 488 pàgines
...bêche ; nous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse et la mort ralentissaient nos pas. A la vue du chien qui nous avait trouvés...traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. • Le peintre Claude Gautherot a suivi fidèlement la pensée du poête; il l'a rendue d'une manière... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1847 - 558 pàgines
...le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. ÎNous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse...nous avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant , bondissant de joie , nous traçait une autre route , je me mis à fondre eu larmes. Souvent la longue... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 418 pàgines
...rochers; la vieillesse I passe comme une fleur; j ai sèche comme l'herbe des champs i P II Kfr*HBF EDIT et la mort ralentissaient également nos pas. A la...avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant, bondisssant de joie, nous traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. Souvent, la longue... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1851 - 560 pàgines
...le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi , une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse...nous avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant , bondissant de joie , nous traçait une aut#e route , je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1853 - 540 pàgines
...le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse...avait trouvés dans la forêt , et qui maintenant , bondissant de joie , nous traçait une autre route , je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1859 - 564 pàgines
...le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rochers en rochers; la vieillesse....avait trouvés dans la forêt , et qui maintenant , bondissant de joie , nous traçait une.autre route , je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue... | |
 | Charles Louandre - 1863 - 294 pàgines
...l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rocher en rocher ; la vieillesse et la mort ralentissaient également...avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant, bondissant de joie, nous traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue... | |
 | François-René de Chateaubriand - 1864 - 536 pàgines
...le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre de rochers en rochers ; la vieillesse...avait trouvés dans la forêt, et qui maintenant, bondissant de joie, nous traçait une autre route, je me mis à fondre en larmes. Souvent la longue... | |
| |
Les éperviers criaient sur les rochers et les martres rentraient dans le creux des ormes : c'était le signal du convoi d'Atala. Je chargeai le corps sur mes épaules; l'ermite marchait devant moi, une bêche à la main. Nous commençâmes à descendre... 
