Voilà des journaux, mêmes patriotes, qui prouvent ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car dans le moment où l'on brûlait les châteaux de mes voisins, je fus dans le mien,... Les massacres de septembre - Pàgina 236per G. Lenotre - 1907 - 340 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| Jean-Gabriel Peltier - 1792 - 572 pàgines
...voifins, je fus dans le mien, à Saint-Méard; les payfans vinrent en foule me témoigner le plaifir qu'ils avaient de me voir, et plantèrent un mai dans ma cour. Je fais que ces détails doivent vous paraitre bien minutieux; mais, mejjieurs, mettez-vous à ma place,... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 404 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car, dans le moment où l'on brûlait les...cour. Je sais que ces détails doivent vous paraître bien minutieux ; mais, Messieurs , mettez-vous à ma place , ot jugez si c'est le moment de tirer parti... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 424 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car, dans le moment où l'on brûlait les...avaient de me voir, et plantèrent un mai dans ma coar. Je sais que ces détails doivent vous paraître bien minutieux ; mais , Messieurs , mettez-vous... | |
| 1823 - 404 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car, dans le moment où l'on brûlait les...témoigner le plaisir qu'ils avaient de me voir, et plantérent un mai dans ma cour. Je sais que ces détails doivent vous paraître bien minutieux ; mais... | |
| 1823 - 412 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur; car, dans le moment où l'on brûlait les...mien , à Saint-Méard ; les paysans vinrent en foule nie témoigner le plaisir qu'ils avaient de me voir, et plantèrent un mai dans ma cour. Je sais que... | |
| Philippe Joseph B. Buchez, Roux-Lavergne - 1835 - 504 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car , dans le moment où l'on brûlait...Saint-Méard ; les paysans vinrent en foule me témoigner (1) Les génies de Rousseau et de Voltaire réunis , en plaidant ma cause , auraient-ils pu mieux dire.... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835 - 502 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aime des paysans de la terre dont j'étais seigneur; car, dans le moment où l'on brûlait les...mien , à Saint-Méard ; les paysans vinrent en foule nie témoigner ,. ,i •. -• . .' . ' . . . • S'I,,, I. 1 ! (1) Les génies de Rousseau et de Voltaire... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1835 - 1006 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car , dans le moment où l'on brûlait les châteaux de mes voisins, je fus dans le mien, ù Saint-Méard; les paysans vinrent en foule me témoigner (1) Les génies de Rousseau et de Voltaire... | |
| Nicolas Villiaumé - 1850 - 422 pàgines
...ce que j'ai l'honneur de vous dire. J'ai toujours été aimé des paysans de la terre dont j'étais seigneur ; car dans le moment où l'on brûlait les...cour. Je sais que ces détails doivent vous paraître bien minutieux ; mais, messieurs, mettez-vous à ma place, et jugei si c'est le moment de tirer parti... | |
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