Vie de Napoléon Buonaparte,...: précédée d'un tableau préliminaire de la révolution française, Volum 2Charles Gosselin, 1827 |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Vie de Napoléon Buonaparte,...: précédée d'un tableau préliminaire ..., Volum 2 Sir Walter Scott Visualització completa - 1827 |
Vie de Napoleon Buonaparte: Precedee D'Un Tableau Preliminaire de ..., Volum 8 Sir Walter Scott, Sir,Scott-W Previsualització no disponible - 2013 |
Frases i termes més freqüents
agens aristocrates armée armes assez aurait pu avaient Bailly Bouillé Brissot brissotins c'était cause royale Champ-de-Mars château chef citoyens classes clergé club club des jacobins cobins comte de Narbonne constitution constitutionnel corps couronne déclaration décret démocrates départemens députés désordre dessein devait dévoués doute Drouet Dumouriez Édit émigrés eût événemens factions famille royale Fayette force fût garde nationale gardes-du-corps général girondins grenadiers guerre hommes insulte insurgés jacobins jour l'armée l'as l'assem l'assemblée législative l'assemblée nationale Lacretelle Lessart liberté long-temps Louis XVI madame Roland marquis de Bouillé menaces ment mesure militaire ministres Mirabeau monarchie monarque moyens multitude n'était nation nobles palais Péthion peuple piques politique populace populaire pouvait pré prince raient régiment de Flandre reine répu républicains république réunirent révolution française révolutionnaire Robespierre Roland royauté s'était semblée sentimens sentiment serment seul souverain talens tête tion troupes trouvait Tuileries vait Varennes Versailles veto violences voulait Whigs
Passatges populars
Pàgina 153 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Pàgina 33 - ... C'est à l'indignation, c'est à l'horreur, c'est aux convulsions physiques que le seul aspect du sang me fait éprouver, que j'ai cédé. On brave une seule mort, on la brave plusieurs fois quand elle peut être utile ; mais aucune puissance sous le ciel, mais aucune opinion publique ou privée, n'ont le droit de me condamner à souffrir inutilement mille supplices par minute, et à périr de désespoir, de rage, au milieu des triomphes du crime que je n'ai pu arrêter.
Pàgina 221 - A quoi se réduisent en effet toutes ces défiances? Une partie de l'Assemblée attribue à l'autre le dessein séditieux de vouloir détruire la monarchie ; les autres attribuent à leurs collègues le dessein de vouloir la destruction de l'égalité constitutionnelle et le gouvernement aristocratique connu sous le nom des deux chambres. Voilà les défiances désastreuses qui divisent l'empire. Eh bien, foudroyons, messieurs, par une exécration commune et par un irrévocable serment, foudroyons...
Pàgina 32 - Ma santé, je vous jure , me rendrait mes fonctions impossibles ; mais, même en la mettant de côté , il a été au-dessus de mes forces de supporter plus long-temps l'horreur que me causaient ce sang , ces têtes , cette reine presque égorgée,, ce roi amené esclave, entrant à Paris au milieu de ces assassins , et précédé des têtes de ces malheureux gardes.
Pàgina 32 - Mounier échappant comme par miracle » à vingt assassins qui avaient voulu faire de sa tête » un trophée de plus : voilà ce qui me fit jurer de » ne plus mettre le pied dans cette caverne d'an...
Pàgina 164 - Louis-Stanislas-Xavier, prince français, de rentrer en France dans le délai de deux mois; faute de quoi, il serait censé avoir abdiqué son droit éventuel à la régence. Le 9 novembre...
Pàgina 173 - L'éponge des siècles peut effacer du livre de la loi le chapitre de la royauté, mais le titre de la souveraineté nationale restera toujours intact.
Pàgina 32 - ... que jamais vers sa régénération ; M. Barnave riant avec lui quand des flots de sang coulaient autour de nous ; le vertueux Mounier échappant...
Pàgina 211 - ... ce tumulte. Ils lui témoignèrent le dévouement de l'Assemblée nationale. Louis répondit qu'il était sensible à cette sollicitude, mais qu'il ne craignait rien, entouré du peuple français. Un garde national s'approcha de lui comme pour le rassurer sur ses dangers ; Louis prit sa main, et la mettant sur son cœur : « Voyez, dit-il, si c'est là le mouvement d'un cœur agité par la crainte. » Cependant Vergniaud n'était pas sans inquiétude.