| Pierre-Jean de Béranger - 1805 - 876 pàgines
...mes yeux jusques dans ses moelles. Une fois ou deux il fixa i • • i ** les siens sur mon visage ; et je me plus à l'outrager par des sourires dérobés,...le confondre. Je me baignais dans sa rage, et je me délectois à le lui faire sentir » ( c'est ainsi, ce me semble, qu'un démon nous peindroit sa joie).... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1843 - 620 pàgines
...de cette séance, et de son triomphe sur le premier président. « L'insulte, dit-il, le më» pris, le dédain, le triomphe, lui furent lancés de mes yeux » jusqu'en ses moelles. Souvent il baissoit la vue quand il at» trapoit mes regards: une fois ou deux il fixa les siens sur » moi, et... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - 1840 - 590 pàgines
...cent reprises, dans la séance, de mes regards assenés et forlongés avec persévérance. L'insulte, le mépris, le dédain, le triomphe, lui furent lancés...il attrapait mes regards; une fois ou deux il fixa ie sien sur moi , et je me plus à l'outrager par des sourires dérobés, mais noirs , qui achevèrent... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1842 - 630 pàgines
...Souvent il baissoit la « vue quand il attrapoit mes regards ; une fois « ou deux il fixa les siens sur moi, et je me « plus à l'outrager par des sourires dérobés, « mais noirs, qui achevèrent de le confont« dre. » (2) Le parlement ne songeoit point à résister; cependant pour lui faire mieux sentir... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1842 - 592 pàgines
...de la suite de cette séance , et de son triomphe sur le premier président. « L'insulte , dit-il, le mépris , le dédain, « le triomphe , lui furent...lancés de mes yeux «jusqu'en ses moelles. Souvent il baissoit la u vue quand il attrapoit mes regards; une fois « ou deux il fixa les siens sur moi , et... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1842 - 592 pàgines
...cette séance , et de son triomphe sur le premier président. « L'insulte , dit-il, le inépris , le dédain, « le triomphe , lui furent lancés de mes yeux «jusqu'en ses moelles. Souvent il baissoit la K vue quand il attrapoit mes regards ; une fois « ou deux il fixa les siens sur moi ,... | |
| Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1847 - 588 pàgines
...Souvent il baissait la vne quand il » attrapoït mes regards ; une fois ou deux il fixa les siens sur moi, et " je me plus à l'outrager par des sourires...mais noirs, qui • achevèrent de le confondre*. » Le parlement ne songeait point à résister ; cependant ponr lui faire mieux sentir sa dépendance,... | |
| Pierre Clément - 1855 - 558 pàgines
...cent reprises, dans la séance, de mes regards assénés et prolongés avec persévérance. L'insulte, le mépris, le dédain, le triomphe lui furent lancés...il attrapait mes regards. Une fois ou deux, il fixa les siens sur moi, et je me plus à l'outrager par des sourires dérobés, mais noirs, qui achevèrent... | |
| Pierre Clément - 1855 - 680 pàgines
...cent reprises, dans la séance, de mes regards assénés et prolongés avec persévérance. L'insulte, le mépris, le dédain, le triomphe lui furent lancés...quand il attrapait mes regards. Une fois ou deux, il flxa les siens sur moi, et je me plus à l'outrager par des sourires dérobés, mais noirs, qui achevèrent... | |
| Louis Léonard de Loménie - 1856 - 552 pàgines
...même jour, par le bourreau, le Dictionnaire philosophique de Voltaire et une instrucrance. L'insulte, le mépris, le dédain, le triomphe, lui furent lancés...fixa le sien sur moi, et je me plus à l'outrager pardes sourires dérobés, mais noirs, qui achevèrent de le confondre. Je me baignais dans sa rage,... | |
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