 | William Hickling Prescott - 1857 - 496 pàgines
...s'occuperait des choses de la religion. Elle re'pHqua, nou sans humeur, qu'il lui paraissait plus necessaire de pourvoir d'abord a ce qu'exigeait le service de...religion serait un plus grand mal, que la perte du pays." Correspondance de Philippe II., torn. ip 449. 19 " II repartit que tous ceux qui avaient quelque chose... | |
 | William Hickling Prescott - 1860 - 388 pàgines
...religion. Elle répliqua, non sans humeur, qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine...religion serait un plus grand mal que la perte du pays. » — Corr. de Philippe II, t. I,p.44S. * » Il repartit que tous ceux qui avaient quelque chose à... | |
 | Théodore Juste - 1862 - 384 pàgines
...religion. Marguerite répliqua avec vivacité qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu , parce que la ruine...serait un plus grand mal que la perte du pays. Mais le comte fit observer que tous ceux qui avaient quelque chose à perdre ne l'entendaient pas de cette... | |
 | Théodore Juste - 1862 - 384 pàgines
...religion. Marguerite répliqua avec vivacité qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu , parce que la ruine...serait un plus grand mal que la perte du pays. Mais le comte fit observer que tous ceux qui avaient quelque chose à perdre ne l'entendaient pas de cette... | |
 | Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1878 - 914 pàgines
...Marguerite, en digne sœur de Philippe II, répliqua qu'à son avis, il fallait en premier lieu pourvoir à ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine de la religion serait un plus grand mal que la ruine du pays. « (le n'est pas mon avis, poursuivit le » comte, toujours préoccupé de ses intérêts... | |
 | Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique - 1878 - 956 pàgines
...Marguerite, en digne sœur de Philippe II, répliqua qu'à son avis, il fallait en premier lieu pourvoira ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine de la religion serait un plus grand mal que la ruine du pays. « Ce n'est pas mon avis, poursuivit le • comte, toujours préoccupé de ses intérêts... | |
 | Alexandre Joseph Namèche - 1885 - 972 pàgines
...avec fermeté et non sans indignation, qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine de la religion serait un plus grand mal que celle du pays. Mais le comte répartit que tous ceux qui (1) Mémoire du magistrat d'Audenarde, p.... | |
 | William Hickling Prescott - 1904 - 472 pàgines
...religion. Elle repliqua, non sans humeur, qu'il lui paraissait plus necessaire de pourvoir d'abord & ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine...religion serait un plus grand mal que la perte du pays." Correspondance de Philippe II., tom. ip 449. " " II repartit que tous ceux que avaient quelque chose... | |
 | Henri Pirenne - 1907 - 512 pàgines
...». Et comme Marguerite répliquait « qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine de la religion serait un plus grand mal que la ruine du pays, il répartit que tous ceux qui avaient quelque chose à perdre ne l'entendaient pas... | |
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Marguerite répliqua, avec fermeté et non sans indignation, qu'il lui paraissait plus nécessaire de pourvoir d'abord à ce qu'exigeait le service de Dieu, parce que la ruine de la religion serait un plus grand mal que la perte du pays. 