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moignages d'affection. Nommé, en 1588, à l'évêché de Vence, il obtint, en 1591, une bulle du pape Clément VIII, qui réunissait à ce siége celui de Grasse (exclusis successoribus). Cette faveur devint la cause de tous les chagrins qui empoisonnèrent le reste de sa vie. L'union des deux siéges, attaquée par le prévôt et les chanoines de Grasse, fut confirmée par le parlement de Provence, qui enregistra la bulle du souverain pontife, par arrêt rendu le 22 mai 1592, au nom de Charles X (le cardinal de Bourbon, voy. ce nom, V, 348, proclamé roi de France par les ligueurs). Cependant, cette union fut ratifiée par Henri IV. Les adversaires de Leblanc n'espérant pas gagner leur procès en appel, tentèrent de l'assassiner. Ce complot fut découvert, et l'évêque porta plainte contre ceux qu'il soupçonnait d'en être les auteurs; mais l'affaire n'eut pas de suite. Le chapitre de Grasse attaqua de nouveau l'acte d'union devant le parlement d'Aix; un arrêt du 21 novembre 1601 en prononça la nullité. Leblanc ne survécut que huit jours à cette sentence. Il mourut le 29 novembre à Aix, où il s'était rendu pour son procès, et fut inhumé dans la cathédrale, où son neveu, prévôt de Toulon, nommé comme lui Guillaume, lui fit placer une pompeuse épitaphe. Elle est rapportée dans la Gallia Christiana, III, 1178, où l'on a confondu l'évêque de Vence et de Grasse avec celui de Toulon dont l'art. précède. Leblanc n'avait que quarante ans. On a de lui: I. Des poésies latines, publiées séparément à Rome, et recueillies sous le titre de Guilel. Blanci Poemata, Paris, 1588, in-8°, avec le portrait de l'auteur, gravé par Thom. de Lew; à la deuxième page, on lit Finis primæ partis; mais ce volume est le seul qui ait paru. Les

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Poemata de Leblanc ont été réimprimés à Rome, 1594, in-4°. Cette édition est augmentée de quelques pièces; mais la plus complète est celle que Raoul Bothrays ou Boutrais (Botereius) a donnée sous le titre de Musæ pontificia, Paris, 1618, in-4° (1). Elle a été décorée d'un frontispice, dans lequel on a réuni les portraits en médaillons de quatre prélats du nom de Guillaume Leblanc, deux cardinaux et les deux évêques de Toulon et de Vence. On trouve dans ces diverses éditions un petit traité de notre auteur De ratione anagrammatismi. Il est fort curieux, et Nicolas Reusner n'a pas oublié de l'insérer dans son Anagrammatographia (v. REUSNER, XXXVII, 426). II. Discours sur le déloyal assassinat entrepris sur la personne de Guillaume Le Blanc, et inopinément découvert le 27 septembre 1576, in-8°; petite pièce très-rare. III. Discours à ses diocésains touchant l'affliction qu'ils endurent des loups en leurs personnes et des vermisseaux en leurs figuiers, Lyon, 1598, in-8° de 221 pp.; de 221 pp.; il y a des exemplaires avec l'indication de Tournon; Paris, 1599, in-12, de 176, pp. Mercier de Saint-Léger en a donné un extrait dans les Mémoires de Trévoux ; novembre 1765, 1256-76. Son neveu, P. Leblanc publia, en 1606, un de ses ouvrages posthumes, intitulé: Discours des Parricides, Lyon, in-8°. L'auteur y examine combien il y a de tes de parricides, et range, sous cette dénomination, le parricide proprement

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(1) On y trouve Epigrammata in obeliseum a Sixto V erectum.-Gallia ad summ. pontificem.- Ad eumdem carmen eucharisticum. Aquæ felices ad Sixtum V.- De morte Annæ Ducis de Giviosa.-Hyacinthus, sive de B. Hyacintho polono libri duo. Parænesis ad Henricum IV. Tous ces opus. cules avaient été imprimés séparément à Rome ou à Paris.

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LE BLANC (Visces), voyageur français, était né à Marseille en 1554. Son père, ancien négociant au Levant, était co-propriétaire d'un navire qui fai sait le commerce de cette contrée; il n'est done pas étonnant que, dès l'âge le plus tendre, Vincent Leblanc ait eu, suivant ses propres expressions, une très-grande inclination à voyager. Il n'avait pas encore atteint sa quatorzième année, que, poussé du désir de courir le monde, il résolut, en 1567, de s'embarquer à bord d'un navire qui partait pour Alexandrie; comme son père lui en avait toujours refusé la permission, il prit secretement le chernin de la Ciotat. Ramené bientôt à sa mère, il fut sourd à toutes les exhortations qu'elle lui fit pour le retenir; de sorte qu'elle lui permit de s'en aller sans que son père en sút rien. Il monta donc en cachette sur le navire qui le conduisit à sa destination. Apres huit mois de séjour au Caire, Le blanc, revenant en France sur le même bâtiment, fit naufrage sur les côtes de Candie, Le consul de France à la Canée recueillit notre voyageur, le garda chez lui prés de sept mois, et lui fournit les moyens d'aller à Jérusalem, Leblanc prít terre à Tripoli de Syrie, à la suite d'un marchand, parcourut tout ce pays, ainsi que la Palestine, la presqu'ile du mont Sinai et les trois Arabies; il vit les deux villes saintes de la Mecque et de Médine; visita les côtes du golfe arabique, et, après avoir attéri plusieurs fois au port

d'Aden, il en partit pour Ormus, alors entrepôt d'un commerce immense, Leblanc et son maître débitèrent ensuite leurs marchandises avec grand profit dans la Perse et la Babylonie, jusqu'à l'Euphrate. Ils poussèrent dans le Nord jusqu'à Samarcand, revinrent a Aden, suivirent les côtes d'Arabie, du Mekran et de l'Inde jusqu'à Din, Cambaye, Goa, et aux ports de la côte de Malabar; puis les côtes de Coromandel et du Bengale, celles de la presqu'ile orientale de l'inde; enfin ils virent Pégon, Martaban, Malacca, Siarn, Sumatra, Java. En reve= nant des Indes orientales, la première terre où ils aborderent, en naviguant à l'ouest vers l'Afrique, fut la grande ile de Saint-Laurent ou Madagascar, De la ils longerent la côte orientale du continent, pénétrérent dans l'intérieur, et entrerent en Abyssinie, dont le souverain est appelé le Prestejan. Ils s'avancerent par terre jusqu'au Caire; et, au bout de huit mois de voyage travers l'Afrique, arriverent à Alexandrie. Après y être restés quelques jours, « nous en partimes, dit Le. blanc, pour Tripoli de Syrie, sans • pouvoir accomplir mon vou d'aller « en Jérusalem, pour lequel j'avais « couru tant de pays ». Une longue visite à Malte retarda de cinq mois son retour à Marseille, en 1578. Mon père et sa mère, qui depuis six ans avaient fait célébrer ses funérailles, ne le reconnurent pas après dix ans d'absence. Le repos ne pouvait lui convenit; aussi s'empressa-t-il, au bout de six mois, d'accompagner un envoyé de Henri III vers le roi de Maroc, LÆ bâtiment qui les portait chavíra sous les murs de Gibraltar; tous les Français furent emprisonnés, parce que le navire était chargé de munitions de guerre pour un prince ennemi de l'Espagne. Mais bientôt on les 16

keha, et ils entrerent dans le port de Larache. L'ambassadeur prit la route de la capitale, Vincent et quelques autres le quitterent a Méquinez, afin d'aller se promener à Fez. Une imprudence qu'ils commirent leur attira une méchante affaire. Leblanc, mené devant le cadi, reçut la bastonnade, fut jeté dans une prison et sollicité de remer sa foi; sur son refus, le magistrat prononça contre lui la peine de mort. Mais, des musulmans ayant remontré que sa fante ne méritait pas ane telle peine, il fut ramené dans son cachot, où il ne rentra qu'accablé des coups de la populace. Des chrétiens, instruits de sa mésaventure, vinrent prier le juge d'avoir pitié de sa jeunewe, et de considérer qu'il était de la suite de l'ambassadeur de France; ils le cautionnerent, et il futélargi. Leblanc raconte qu'il combattit, avec une soixantaine de Marseillais, à la bataille de Mucazam, où périt Sébastien, roi de Portugal, et qu'il vit le corps de ce prince qu'on portait dans une caisse remplie de chaux pour le conserver. Re veno à Larache, il s'embarqua pour Cadiz, traversa l'Espagne méridionale, et suivit la côte de la Méditerranée jusqua Marseille. En 1579, il gagna per mer Constantinople; revint dans sa patrie et fit uneexcursion en Italie. Lannée suivante, il était à Paris. Il se trouva plus tard au premier siége de La Pere, fut blessé, prit parti dans les troupes du duc d'Alençon, et souffrit extrêmement du froid. A peine de retour a Marseille, il monte, en 1583, sur un navire destiné pour le Brésil, débarque la méme année au Havre et revoit sa patrie, « où je me mariai, ⚫ dit-il, avec une des plus terribles ⚫ femmes du monde, et telle que, ⚫ pensant me reposer, je fus contraint, • pour la fuir, de voyager derechef; * et de fait, je m'en allai en Portugal

« faire quelque emplete de perles, l'an

1584. Ses affaires le conduisirent de ce pays en Espagne, en Italie, a Malte. Revenu de nouveau à Marseille, il se trouvait en 1592, à Séville, « négociant ⚫ de pierreries et de perles ». Quelquesuns de ses compatriotes lui persuadérent d'aller avec eux trafiquer à la côte de Guinée. On partit le 22 octobre; le 15 novembre, on était devant l'embou chure du Sénégal. Leblanc raconte ensuite son voyage du Port SainteMarie, pres de Cadix, aux Canaries et aux Antilles; il nomme la Désirade, la Dominique, la Jamaique, Cuba, comme y ayant abordé, puis la côte de Honduras. Il parle encore de villes de l'Amérique espagnole où il a demeuré, mais il ne les désigne point par leur nom. Il en est de même du Brésil. On ne sait donc pas quels sont les lieux où il a porté ses pas dans le Nouveau-Monde. 11 termina ses longs voyages vers 1606. On voit par ses récits qu'il avait toujours un petit livret ou mémorial dans lequel il écrivait tout ce qu'il observait ou apprenait. Le célebre Peiresc, qui avait entendu parler de Leblanc, de ses nombreuses courses et des notes qu'il avait recueillies, le fit prier, en 1619, de vouloir bien passer chez lui avec son manuscrit et de le lui confier. On sait que ce zélé promoteur des lettres habitait ordinairement la Provence, sa patrie; son dessein était de publier la relation de Leblanc telle que celui-ci l'avait composée: mais il la trouva remplie de tant de choses absurdes, qu'il lui parut nécessaire de la faire revoir par un homme instruit. Il conseilla donc à l'auteur de la remettre à Bergeron ( v. ce nom, LVIII, 36); la mort empêcha celui-ci d'achever son travail qui fut terminé par Coulon (v. Cotion, X, 94). Leblanc ne vécut pas assez pour voir paraître

général, il a soin d'avertir qu'il n'est pas allé dans tel pays dont il ne parle que d'après ce qu'il a appris de la bouche d'autrui. Es, LEBLANC (THOMAS), jésuite, né à Vitry, en Champagne, en 1599, fut successivement professeur de belles-lettres, d'hébreu, de l'ÉcritureSainte, recteur en plusieurs colléges, provincial, et mourut à Reims, en 1669, avec la réputation d'un homme pieux et savant. Celui de tous ses ouvrages qui fait le plus d'honneur à ses talents est intitulé : Analysis psalmorum Davidicorum cum amplissimo commentario, Lyon, 1665-76; Cologne, 1681, 6 vol. in-fol. Il y développe le sens littéral et le sens mystique des psaumes. Ses autres écrits roulent sur divers sujets de piété. Les uns sont des traductions de litalien, les autres de sa composition. Parmi ces derniers, on peut citer le Soldat généreux, pour l'utilité des soldats et des bourgeois qui les logent; l'Homme de bonne compagnie, le Bon Valet, la Bonne Servante, le Bon Vigneron, le Bon Laboureur, le Bon Artisan, le Bon Riche, le Bon Paule Bon Ecolier. Ainsi le pieux auteur a travaillé pour Tinstruction,

cette relation; on peut présumer qu'il cessa de vivre vers 1640, par conséquent dans un âge très-avancé. Le livre dont il avait fourni les matériaux fut publié avec ce titre : Les Voyages fameux du sieur Vincent Le Blanc, marseillais, qu'il a faits depuis l'âge de douze ans jusques à soixante aux quatre parties du monde, Paris, 1649, in-4; ibid., et Troyes, 1658, in-4", Dans cette deuxième édition, Coulon a omis la dédicace et l'avis au lecteur qui se trouvent en tête de la première, Taquelle porte le seul nom de Bergeron comme éditeur. Celui de Coulon est ajouté au titre de la deuxième. Le style de l'épitre dédicatoire et de l'avis au public est emphatique et ridicule, Coulon se plaint beaucoup de la négligence des imprimeurs, et il donne un long errata; lui-même défigure les noms de personnages très-connus. Beckmann, trompé par les expressions que Coulon emploie pour recommmander l'auteur au Mécéne à qui le livre est dédié, s'imagine que Leblanc vivait encore à cette époque, et il manifeste sa surprise de ce que l'avis au lecteur parle du voyageur comme défunt; il avoue son embarras, dont il aurait pu être tiré facilement, s'il l'eût communiqué à un Français. Les voyages de Vincent Leblanc sont très-décriés : Flacourt, Ludolf, La Martinière l'accusent de raconter des choses imaginaires. La Boullaye-le-Gouz et Tournefort le traitent avec plus d'indulgence; c'était un homme trèsignorant, qui a raconté sans discerne ment tout ce qu'il entendait. Beaucoup d'autres voyageurs ont fait comme Jui sans encourir de blame. Son excursion dans l'intérieur de l'Afrique més Tite d'étre examinée avec attention: c'est, avec sa description du Pégou et des royaumes voisins, ce que son livre contient de plus intéressant. En

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LEBLANC (JKAN), poète du XVI siècle, né à Paris, est peu connu quoiqu'il ait composé un grand nombre d'ouvrages. Ses parents l'avaient fait étudier avec soin dans les meilleures écoles, et il pouvait espérer d'eux une fortune considérable, mais il en perdit une partie dans le temps dess guerres civiles, et l'autre lui fut enlevée par des procès; de sorte qu'il se trouva réduit à un état voisin de la misère. Il passa en Italie, où, n'ayant plus aucune ressource, il entra au service dans les troupes vénitiennes. Il n'y demeura pas long-temps,

et revint en France, où il acquit par ses talents les bonnes grâces de quelques seigneurs en crédit. Leur protection ne lui fut pas tout-à-fait inutile. Des vers qu'il fit en l'honneur du roi Henri IV lui valurent aussi quelques gratifications. Leblanc composait également des vers français et des vers latins, et Goujet dit qu'il a vu de lui, en cette dernière langue, un assez grand nombre de petites pièces presque toutes sur l'amour. On ignore l'époque de sa mort; mais, il faut la placer en 1622, époque où il pouvait étre âgé de 72 ans s'il est réellement l'auteur des différents ouvrages que nous indiquons: I. Légende véritable et le passe-temps de Jean Le Blanc, 1575, in-8", rare. II. Le premier livre de la Henriade de Jean Le Blanc, in-4°, sans date, et Paris, 1604, in-4°. Le P. Lelong, qui cite cet ouvrage dans Bibl. hist. de la France, semble croire que Sébastien Garnier (v. ce nom, XVI, 484) n'a fait qu'en donner la continuation; mais il se trompe. II. Odes pindariques, Paris, 1604, in-4°. III. La Népotimachie poétique, odes, Paris, 1610, in-4°. IV. Rapsodies lyriques, Paris, 1610, in-4°. V. Joannis Albi icones, ad clar, vir. Philipp. Galandium, gymnasiarch. Becodianum, ipse Parisiis excudeb. auctor in Albianâ typograph., 1611, in-4°. On apprend par la que Leblanc avait une imprimerie à Paris. Nous ne savons pas l'on doit attribuer à cet auteur Oraison funèbre de Henri de Gondy, ardinal de Retz, dernier évêque de Paris, Paris, 1622, in-8°. W-s.

sa

LEBLANC (HORACE), peintre Ivonnais du XVIIe siècle, étudia la peinture en Italie, sous Lanfranc; mais ¡a manière de ce maître lui paraissant ¡ trop sévère, il adopta celle du chevalier d'Arpino (v. JOSEPPIN XXII, 35). Egalement exercé dans la peinture à

l'huile et à fresque, il fut rappelé à Lyon où on lui donna le titre de peintre de la ville. Il fit alors, conjointement avec François Perrier, les tableaux du petit cloître des Chartreux. Il exécuta ensuite le Martyre de saint Irénée et des premiers chrétiens de Lyon, pour les Feuillants, et, pour la même église, le tableau du grand autel. Un des ouvrages qui lui font le plus d'honneur est le tableau cintré, placé à l'autel de la Vierge, dans l'église des Cordeliers, où il a représenté la Mère de Dieu environnée d'une gloire céleste. Cette production fut tellement goûtée qu'on lui demanda de la répéter pour le grand autel de l'église de la Charité. Mais le tableau dans lequel il s'est véritablement surpassé est un Christ au tombeau, qu'il peignit pour Féglise des Carmélites. Quel que fût le talent de Leblanc pour le genre historique, c'est surtout dans le portrait qu'il a excellé par une parfaite ressemblance. Il mourut à Lyon dans un âge avancé. P—s.

LEBLANC (CLAUDE), né le 1er décembre 1669, était fils de Louis Leblanc, maître des requétes, intendant en Normandie, et de Suzanne Bazin de Bezons, sœur du maréchal de Bezons (1). Claude Leblanc fut reçu conseiller au parlement de Metz le 24 décembre 1696, maître des requétes le 20 mai 1697, intendant d'Auvergne en 1704, puis de Dunkerque et d'Ypres le 12 juin 1706, et conseiller au conseil de guerre en 1716. « Il fallut, « dit Saint-Simon, songer aux vivres, étapes, fourrages, et aux divers marchés, par conséquent à des hom

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(1) A la mort de M. de Girardin, ambassadeur à Constantinople, en 1689, Louis XIV lui donna pour successeur Louis Leblanc; mais une maladie de celui-ci l'empêcha de se rendre à son poste.-Les Leblanc étaient originaires d'Héry et de Seignelay, près Auxerre, et parents de MM. Leblanc d'Auxerre, et de Leblanc de Pommard, dont la veuve se remaria avec l'astronome Delambre.

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