Cours de littérature ancienne, moderne et étrangère à l'usage des jeunes personnes des deux sexes, Volum 1

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Pàgina 160 - Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde, Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir; Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Pàgina 114 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Pàgina 115 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Pàgina 129 - Je suis maître de moi comme de l'univers; Je le suis, je veux l'être. 0 siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Pàgina 114 - Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de...
Pàgina 150 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Pàgina 190 - Le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d'étonnement &.
Pàgina 190 - Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...
Pàgina 167 - Leur talent dans l'oubli demeurerait caché ; Et qui saurait sans moi que Cotin a prêché? La satire ne sert qu'à rendre un fat illustre : C'est une ombre au tableau , qui lui donne du lustre.
Pàgina 140 - Mon sang fût le premier que vous dussiez verser. Non que la peur du coup dont je suis menacée Me fasse rappeler votre bonté passée : Ne craignez rien : mon cœur, de votre honneur jaloux...

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