Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une espèce d'admiration et de stupeur. Sa conversation était sérieuse sans être froide; elle s'exprimait. avec une pureté , un nombre et une prosodie , qui faisaient de son langage une espèce de musique... Mémoires de Madame Roland - Pàgina xliiper Madame Roland - 1821 - 540 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| Nicolas Toussaint Le Moyne des Essarts - 1796 - 502 pàgines
...d'admiiution et de stupeur. Sa conversation étoit sérieuse saus être froi'le ; elle s'exprimoit avec une pureté, un- nombre et une prosodie qui faisaient de son hm.^a£e une espère de musique dont l'oreille néioit jamais rassasiée. Elle' ne parloit jamais des.... | |
| Marguerite Ursule Fortunée Briquet - 1804 - 392 pàgines
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plus d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| Fortunée Bernier Briquet - 1804 - 398 pàgines
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation. était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plu» d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| Fortunée Bernier Briquet - 1804 - 396 pàgines
...douce et la plus généreuse. Ordinairement sa conversation était sérieuse sans être froide , et elle s'exprimait avec une pureté , un nombre et une...musique dont l'oreille n'était jamais rassasiée. Pour la perdre , on l'accusa de ce qui fait peut-être le plus - d'honneur à sa mémoire. Sa correspondance... | |
| 1820 - 512 pàgines
...racle de la révolution , auquel on n'était pas encore ac» coutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle , dans » une espèce d'admiration et...n'était jamais rassasiée ; elle ne parlait jamais des dépu» tés qui venaient de périr , qu'avec respect , mais sans » pitié efféminée , et leur reprochant... | |
| French revolution, 1789 - 1820 - 520 pàgines
...mi» racle de la révolution , auquel on n'était pas encore ac» coutume. Nous étions tous attentifs autour d'elle , dans » une espèce d'admiration et...musique dont l'oreille » n'était jamais rassasiée j elle ne parlait jamais des dépu» tés qui venaient de périr , qu'avec respect , mais sans » pitié... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1821 - 458 pàgines
...pleins d'expression et de douceur ; elle me parlait sou» vent à la grille, avec la liberté et le courage d'un grand » homme. Ce langage républicain...être froide ; » elle s'exprimait avec une pureté, uu nombre et une » prosodie qui faisaient de son langage une espèce de » musique dont l'oreille... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 320 pàgines
...miracles de la révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une espèce d'admiration et de...parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'avec respect , mais sans pitié efféminée , et leur reprochant même de n'avoir pas pris des mesures... | |
| Honoré-Jean Riouffe - 1823 - 332 pàgines
...révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans Hue espèce d'admiration et de stupeur. Sa conversation...parlait jamais des députés qui venaient de périr, qu'avec respect, mais sans pitié efféminée, et leur reprochant même de n'avoir pas pris des mesures... | |
| Honoré-Jean Riouffe - 1823 - 348 pàgines
...miracles de la révolution auquel on n'était point encore accoutumé. Nous étions tous attentifs autour d'elle dans une espèce d'admiration et de...conversation était sérieuse sans être froide; elle s'exprima! I avec une pureté, un nombre et une prosodie, qui faisaient de son langage une espèce... | |
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