Les sources & l'évolution des essais de Montaigne: Les sources & la chronologie des essaisHachette, 1908 - 576 pàgines |
Altres edicions - Mostra-ho tot
Les sources & l'évolution des essais de Montaigne: Les sources & la ... Pierre Villey Visualització completa - 1908 |
Les sources & l'évolution des essais de Montaigne: Les sources & la ... Pierre Villey Visualització completa - 1908 |
Les sources & l'évolution des essais de Montaigne: Les sources & la ... Pierre Villey Visualització completa - 1908 |
Frases i termes més freqüents
additions allusion Amyot antérieur Aristote assez Aulu-Gelle auteur Bâle Bellay Bibliothèque Blaise de Vigenere Bodin Boétie Bordeaux Bouchet Cæsar César chapitre chronologie des Essais Cicéron citations latines d'Amyot d'Histoire moderne utilisés Diodore de Sicile discours doute emprunts en 1580 époque Érasme Essais de 1580 Estienne Euvres morales exemplaire exemple faict fournit François Gentillet grec Guevara Guichardin Hérodote Histoire Histoire Auguste idées indications Jean Bouchet jugement Juste Lipse Juste-Lipse l'Apologie l'édition de 1580 l'essai l'histoire Livres d'Histoire moderne Lucain Lyon Mentionné mesme méthode Montaigne a lu Montaigne ait Montaigne écrit Montaigne n'a Montaigne possédait Montaigne semble œuvres ouvrage passage pensée peut-être philosophie phrase Pline Plutarque porte au titre postérieur premier livre première édition première période probablement quæ Quinte-Curce réminiscences Sénèque sentences seulement Sextus Empiricus signature de Montaigne Suétone surtout Tahureau taigne texte tion titre la signature traduction latine trouve utilisés par Montaigne Valère Maxime vraisemblable Xénophon XVIe siècle
Passatges populars
Pàgina 97 - est beaucoup pour moy, et que je r'amentoive ce que j'en ay tiré de suc « et de substance, la plus part du temps je n'y trouve que du vent : car « il n'est pas encor venu aux argumens qui servent à son propos et
Pàgina 394 - de constance et de patience plus purs et plus roides « que ne sont ceux que nous estudions si curieusement en l'es«cole. Combien en vois je ordinairement qui mescognoissent « la pauvreté, combien qui desirent la mort ou qui la passent sans « alarme et sans affliction. Celuy là qui fouit mon
Pàgina 45 - marcbé aussi avant et le pas qu'il m'a pieu. Cela m'a amolli et « rendu inutile au service d'autrui et ne m'a fait bon qu'à moy, « estant d'ailleurs d'un naturel poisant, paresseux etfayneant, car, « m'estant trouvé en tel degré de fortune dès ma naissance, que « j'ay eu occasion de m'y arrester, je n'ay rien
Pàgina 80 - Bodin : une allusion précise suffirait à l'établir si un doute était possible à cet égard : Montaigne écrit « combien trouve-je plus naturel que nostre entendement soit emporté de sa place par la volubilité de nostre esprit détraqué, que cela qu'un de nous soit envolé sur un balai, au long du
Pàgina 168 - plus forts espris. Quand je voy ces braves formes « de s'expliquer si vifves, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, « je dis que c'est bien penser C'est la gaillardise de l'imagination qui
Pàgina 125 - les modernes, ou traité préparatif à l'Apologie pour Hérodote. L'argument est pris de l'Apologie pour Hérodote, composée en latin par Henri Estienne, et est ici continué par lui mesme (1). Voici un long emprunt fait par Montaigne à cet ouvrage : « Combien voit on de personnes populaires et communes conduictes à « la mort, et non à une mort simple, mais meslée de
Pàgina 94 - tousjours semblé qu'en la poésie Virgile, Lucrèce, Catulle et Horace « tiennent de bien loing le premier rang » (II. 10, t. III, p. 126). Il oppose ses qualités classiques aux défauts de la basse époque et les définit ainsi : « Si n'y a-il bon juge qui les trouve à dire en ces anciens, et qui n'admire plus sans comparaison
Pàgina 160 - en mon temps, entre-autres un sous le nom de Capilupus, outre les « anciens. Ce sont des esprits qui se font veoir et par ailleurs et par là, comme Lipsius en ce docte et laborieux tissu de ses Politiques ». (I. 26, t. II, p. 25). citation de Properce, une de
Pàgina 44 - vois en son entier ce peu de sens et de direction que nature m'a « donné, pour leur service et pour le mien ; un peu d'esmotion, « mais point de resverie. » A la mort de La Boétie, il se fait amoureux par calcul, pour faire diversion et
Pàgina 141 - de la contagion. Cela me faict craindre qu'il y aye « un peu du vice de son goust, que cela soit advenu de ce qu'il ait estimé « d'autruy selon soy, » (II, 10, t. III, p. 141). Aux