Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fut blessé à la joue; un autre au-dessus du nez.... Mémoires sur les journées de septembre 1792 - Pàgina 77per François de Jourgniac Saint-Méard - 1858 - 313 pàginesVisualització completa - Sobre aquest llibre
| 1796 - 648 pàgines
...laquelle on nous dénonçoit comme ses plus cruels ennemis. CeJre multitude effrénée grossissent de la manière la plus effrayante à mesure que nous avancions vers l'Aobaye par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le Carrefour Bussi. Nous voulûmes fermer les portières... | |
| Antoine Sérieys - 1801 - 312 pàgines
...nouvelle de la prise de Verdun et ces discours provocateurs durent exciter le caractère Tellement Irascible d'une populace égarée, à laquelle on...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bussy. Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous forca de les laisser ouvertes,... | |
| Aimé Guillon, Aimé Guillon de Montléon - 1821 - 610 pàgines
...femmes. Voilà nos sabres, nos piques: donnez la mort à ces monstres. La populace effrénée grossissoit de la manière la plus effrayante à mesure que nous avancions vers 1' ' Abbaye , en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour AeBussy. Un de mes compagnons... | |
| Aimé Guillon - 1821 - 618 pàgines
...femmes. Voilà nos sabres, nos piques: donnez la mort à ces monstres. La populace effrénée grossissoit de la manière la plus effrayante à mesure que nous avancions vers Y Abbaye , en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour de Bussy. Un de mes compagnons... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 404 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...voulûmes fermer les portières de la voiture; on nous força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut*un... | |
| 1823 - 404 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...voulûmes fermer les portières de la voiture; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - 1823 - 424 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour de Bnssy. Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - 1823 - 406 pàgines
...Dauphine et le carrefour de Bussy. Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fut blessé à la joue ; un autre au-dessus du nez.... | |
| Philippe Joseph B. Buchez, Roux-Lavergne - 1835 - 504 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée, à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut... | |
| Adolphe Granier de Cassagnac - 1852 - 372 pàgines
...exciter le caractère naturellement irascible d'une populace égarée, à laquelle on nous dénonçait comme ses plus cruels ennemis. Cette multitude effrénée...par le Pont-Neuf, la rue Dauphine et le carrefour Bussy. « Nous voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes,... | |
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