| 1808 - 490 pàgines
...Dumourier. Ce général apprit ainsi cette nouvelle au ministre de la guerre : Verdun est pris. J'attends les Prussiens. Le camp de Grandpré et celui des Islettes sont les Thermopj'les ; mais je serai plus heureux que Léonidas ! Ce camp, situé entre l'Aisne et l'Aire ,... | |
| Charles François Du Périer Dumouriez - 1823 - 770 pàgines
...l'importance du poste qu'elle avait à soutenir. Le général écrivit aussitôt au ministre Servan «ne lettre très-laconique : « Verdun est pris; j'at» tends les Prussiens. Le camp de Grand-Pré et w celui des Islettes sont les Thermopyles, mais je )> serai plus heureux que Léonidas. » Dans une... | |
| Jean Vatout, Louis Philippe (king of the French.) - 1826 - 602 pàgines
...remarquable que les événemens postérieurs ont rendue si glorieuse : «Verdun est pris, et j'attends les Prussiens. Le « camp de Grandpré et celui des Islettes sont les « Thermopyles de la France , mais je serai plus « heureux que Léonidas. » II le fut en effet ; mais différentes... | |
| 1833 - 854 pàgines
...22,000 hommes. C'est alors que le général en chef écrivit à Servan : « Verdun est pris; j'attends les Prussiens; le camp de Grandpré et celui des Islettes sont les Thermopyles de la France, mais je serai plus heureux que Leónidas. » Уоу. DUMOURIEZ. Le duc de Brunswick tenta... | |
| Pierre-François Tissot - 1835 - 480 pàgines
...de tous ses moyens le talent de Dumouriez , cette lettre laconique : « Verdun est pris ,j'attends les Prussiens. Le camp de Grand-Pré et celui des Islettes sont les Thermopyles ; mais je serai plus heiueux que Léonidas. » Dans une seconde lettre toute de détails, le général faisait connaître... | |
| Théodose Burette - 1842 - 546 pàgines
...des Islettes ; de là il écrivit au ministre de la guerre, Servan : « Verdun est pris; j'attends les Prussiens. Le camp de « Grandpré et celui des Islettes sont les Thermopyles de la « France, mais je serai plus heureux que Léonidas. » Malheureusement il avait négligé d'occuper... | |
| 1843 - 596 pàgines
...33.000 hommes. C'est alors que le général en chef écrivit à Servan : « Verdun est pris; j'attends les Prussiens; le camp de- Grandpré et celui des Islettes sont les Thermopyles de la France, mais je serai plus heureux que Léonidas. » J'oy. DDHODRIEZ. Le duc de Brunswick tenta... | |
| 1848 - 496 pàgines
...général écrivit aussitôt au ministre Servan une lettre trèslaconique : « Verdun est pris ; j'attends les Prussiens. Le camp de Grand-Pré et celui des...lui communiquait les ordres qu'il avait envoyés à Beurnonville et à Duval, de venir le joindre ; il y joignait le double de l'instruction qu'il avait... | |
| Charles François Du Périer Dumouriez - 1848 - 546 pàgines
...général écrivit aussitôt au ministre Servan une lettre trèslaconique : « Verdun est pris ; j'attends les Prussiens. Le camp de Grand-Pré et celui des...lui communiquait les ordres qu'il avait envoyés à Beurnonville et à Duval, de venir le joindre ; il y joignait le double de l'instruction qu'il avait... | |
| Albert Maurin - 1843 - 532 pàgines
...reddition de Verdun. Il écrivit alors à la Convention : «Verdun est pris; j'attends de pied ferme les Prussiens; le camp de Grand-Pré et celui des Islettes sont les Thermopyles de la France, mais je serai plus heureux que Léonidas. » Le 8 septembre , l'ennemi se présenta ,... | |
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