PENDANT UNE PARTIE DES ANNÉES 1775-1776, ET PENDANT PAR LE BARON DE GRIMM ET PAR DIDEROT. Troisième et dernière Partie. TOME SECOND. PARIS, F. BUISSON, LIBRAIRE, RUE GILLES-COEUR, No 10. Il n'y a guère plus de deux mois que le Poëme des Jardins a paru, et l'on en a déjà fait une demi-douzaine de critiques, dont quelques-unes ne manquent assurément ni d'esprit, ni de malignité. La seule défense que M. l'abbé Delille ait opposée à toutes ces attaques, et c'est la meilleure sans doute, quoiqu'elle ne soit pas à l'usage de tout le monde, a été de laisser multiplier en silence les éditions de son ouvrage; on en est actuellement à la septième, et ces édi tions se sont succédées plus rapidement encore que les libelles où on le déchirait avec un zèle si louable et si littéraire. De toutes les critiques du Poëme des Jardins, la plus amère, la plus injuste peut-être, mais aussi la plus piquante, est une Lettre de M. le |