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" Un des convives nous raconta, en pouffant de rire, que son coiffeur lui avait dit, tout en le poudrant : « Voyez-vous, Monsieur, quoique je ne sois qu'un misérable carabin, je n'ai pas plus de religion qu'un autre. » On conclut que la révolution ne... "
Les souvenirs prophétiques d'une sibylle: sur les causes secrètes de son ... - Pàgina 357
per Marie-Anne Adélaïde Le Normand - 1814 - 596 pàgines
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Mercure de France au dix-neuvième siècle, Volum 24

1806 - 636 pàgines
...des convives nous raconta, en pouffant de rire, que son coiffeur lui avoit dit, tout en le peudrant, voyez-vous, monsieur, quoique je ne sois qu'un misérable carabin, je n'ai pas plus de rtligionqu'un autre. On conclut que la révolution ne tardera pal à se consommer; qu'il faut absolument...
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La philosophie du dix-huitième siècle dévoilée par elle-même ..., Volum 2

Pierre Gourju - 1816 - 460 pàgines
...qu'on fasse silence. Ensuite , « il raconte s» en pouffant de rire, que son coiffeur lui avoit » dit tout en le poudrant. Voyez-vous, Monsieur, »...carabin, je » n'ai pas plus de religion qu'un autre ; à ces mots, » toute rassemblée se lève , la salle retentit » d'acclamations et de cris de joie....
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Oeuvres complètes de l'abbé Proyart,...

Liévin-Bonaventure Proyart - 1819 - 394 pàgines
...mon»«eur , quoique je ne loi» qu'un miter aMe • «-»,,.al«in , je n'ai pa« plut de religion 911 'un autre. On conclut • que la révolution ne tardera...que la superstition et le fanatisme fassent place » àla philosophie ; et l'on est à calculer la probabilité de l'époque, • et quels seront ceux...
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Oeuvres complètes de l'abbé Proyart,...

Liévin-Bonaventure Proyart - 1819 - 394 pàgines
...c'est là le premier titre a sa gloire. — Un des convives nous • raconte que son coiffeur lui avoit dit, tout en le poudrant : • Voyez-vous , monsieur...ne sois qu'un misérable • carabin, je n'ai pas ptus de rcligion qu'un autre. On conclut • que la révolution ne tardera pas à se consommer; qu'il...
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Notice sur La Harpe: suivie de pièces justificatives

Pierre Tiffon Saint-Surin - 1822 - 128 pàgines
...dans le sa« lon. » Un des convives nous raconta , en pouffant de rire , que son coëffeur lui avait dit , tout en le poudrant , voyez-vous , monsieur,...que la superstition et le fanatisme fassent place a la-philosophie, et l'on en est à calculer la probabilité de l'époque, et quels seront ceux de...
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Oeuvres de la Harpe ... accompagnées d'une notice sur sa vie et sur ses ...

Jean-François de La Harpe - 1822 - 510 pàgines
...son coëffeur lui avait dit , tout en le poudrant , voyez-vous , monsieur, quoique je ne sois qu 'un misérable carabin , je n'ai pas plus de religion...que la superstition, et le fanatisme fassent place a la philosophie , et l'on en est à calculer la probabilité de l'époque, et quels seront ceux de...
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Des hallucinations, ou Histoire raisonnée des apparitions [&c.].

Alexandre Jacques F. Brierre de Boismont - 1852 - 872 pàgines
...nous raconta , en pouffant de rire , que son coiffeur lui avait dit, tout en le poudrant: F"oyez-vous, monsieur, quoique je ne sois quun misérable carabin,...religion qu'un autre. On conclut que la révolution ne tarderait pas à se consommer; qu'il faut absolument que la superstition et le fanatisme fassent place...
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Des hallucinations ou histoire raisonnée des apparitions, des visions, des ...

A. Brierre de Boismont - 1852 - 754 pàgines
...dit, tout en le poudrant : foyez^voits, monsieur, quoique je ne sois quun misérable carabin, je net pas plus de religion qu'un autre. On conclut que la révolution ne tarderait pas à se consommer 5 qu'il faut absolûmes que la superstition et le fanatisme fassent place...
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Causeries du lundi, Volum 5

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1853 - 442 pàgines
...comme dans le salon. » Un des convives nous raconta , en pouffant de rire, que son coiffeur lui avait dit, tout en le poudrant : « Voyez-vous, Monsieur,...misérable carabin, je n'ai pas plus de religion qu'un aulre. » On conclut que la Révolution ne tardera pas à se consommer; qu'il faut absolument que la...
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Causeries du lundi, Volum 5

Charles Augustin Sainte-Beuve - 1853 - 446 pàgines
...comme dans le salon. » Un des convives nous raconta , en pouffant de rire, que son coiffeur lui avait dit, tout en le poudrant : " Voyez-vous, Monsieur,...sois qu'un misérable carabin, je n'ai pas plus de rellgion qu'un autre. » On conclut que la Révalution ne tardera pas à se consommer; qu'il faut absolument...
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