Oeuvres de Henri Fonfrède: Esquises Morales et Politiques (381 p.)Chaumas-Gayet, 1846 |
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Passatges populars
Pàgina 87 - Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé...
Pàgina 68 - L'aimable et intéressant jeune homme! il m'avait vu une seule fois, dans le monde, et il me fit l'accueil d'un frère. < La curiosité se réveille à ces noms fameux; mais j'ai peu de moyens de la satisfaire. J'arrivai deux jours avant leur condamnation, et comme pour être témoin de leur mort. > (Riouffe, Mémoires d'un détenu, p. 58, 59.
Pàgina 218 - Bois dans ma coupe, ô messager fidèle , Et dors en paix sur le sein de Nœris ! Athène est libre ? Ah ! buvons à la Grèce , Nœris!
Pàgina 213 - O mes amis ! ô vous qui me fûtes si chers ! De mes chants imparfaits recueillez l'héritage, Et sauvez de l'oubli quelques-uns de mes vers. « Et vous par qui je meurs, vous à qui je pardonne, Femmes ! vos traits encore à mon œil incertain S'offrent comme un rayon d'automne Ou comme un songe du matin. Doux fantômes ! venez, mon ombre vous demande Un dernier souvenir de douleur et d'amour : Au pied de mon cyprès effeuillez pour offrande Les roses qui vivent un jour.
Pàgina 213 - Brise-toi, lyre tant aimée ! Tu ne survivras point à mon dernier sommeil ; Et tes hymnes sans renommée Sous la tombe avec moi dormiront sans réveil. Je ne paraîtrai pas devant le trône austère Où la postérité, d'une inflexible voix, Juge les gloires de la terre, Comme l'Egypte au bord de son lac solitaire, Jugeait les ombres de ses rois. » Compagnons dispersés de mon triste voyage, O mes amis! ô vous qui me fûtes si chers! De mes chants imparfaits recueillez l'héritage, Et sauvez de...
Pàgina 44 - ... glorieuse au-dessus de lui; mais dans les républiques démocratiques, ce n'est point ainsi que procède la tyrannie; elle laisse le corps et va droit à l'âme. Le maître n'y dit plus : Vous penserez comme moi, ou vous mourrez; il dit : Vous êtes libres de ne point penser ainsi que moi; votre vie, vos biens, tout vous reste; mais de ce jour vous êtes un étranger parmi nous.
Pàgina 212 - Il est . sur un lointain rivage , Un arbre où le plaisir habite avec la mort : Sous ses rameaux trompeurs , malheureux qui s'endort ! Volupté des amours , cet arbre est ton image ! Et moi j'ai reposé sous le mortel ombrage....
Pàgina 69 - Fonfrède me prit à part, et comme en cachette de son frère laissa couler un torrent de larmes , aux noms qui brisent les cœurs les plus stoïques, aux noms de sa femme et de ses enfants ; son frère l'aperçoit :
Pàgina 192 - J'ay eu plus en teste les conditions et fortunes de Lucullus, Metellus, et Scipion, que je n'ay d'aucuns hommes des nostres.
Pàgina 92 - ... les plus courageux. La terreur était si générale , qu'à neuf heures du soir Guadet et Pétion, loin de trouver un homme qui osât les retirer pour la nuit, n'avaient qu'à peine rencontré quelqu'un qui eût le courage de marcher devant eux pour les guider jusqu'à ce qu'ils fussent hors de la ville. Il fallait donc encore ne songer qu'à notre sûreté personnelle.