S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance. Histoire des Girondins - Pàgina 318per Alphonse Marie L. de Prat de Lamartine - 1850Visualització completa - Sobre aquest llibre
| 1804 - 266 pàgines
...embrasser laMort; Moi je pleure et j'espère. Au noir souffle du nord Je plie et relève ma tète. S'il est des jours amers il en est de si doux! Hélas!...habite dans mon sein. D'une prison, sur moi les murs nc-sent en vain; J'ai les ailes de l'Espérance. Echappée aux réseaux de l'oiseleur, cruel, Plus... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 638 pàgines
...nord Je plie et relevé ma tel». Il est des jours amers ; il eu est de si doux ; Hélas! quel mie] jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion féconde banite dans mon sein; D'une prison sur moi les murs pèsent en vain ; J'ai les ailes de l'espérance.... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 768 pàgines
...du nord Je plie et reïî-re ma tête. Il est des jours amers ; il en est de fi doux ; Helis! qnel miel jamais n'a laissé de dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? ïi'illusion féconde habite <l:ins mon sein ; D'une prison sur moi les murs pèsent en vain ; J'ai... | |
| Jean-Gabriel Peltier - 1812 - 772 pàgines
...jeune comme lui, Quoique le jour présent ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore. L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent eu vain ; J'ai les ailes de l'espérance. Echappée aux réseaux de l'oiseleur cruel, Plus... | |
| Aubin Louis Millin, François Noel, Israel Warens - 1801 - 604 pàgines
...mouiir encore. « Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la mort; H Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du Nord, « Je plie , et relève ma...« S'il est des jours amers, il en est de si doux ! ce Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts :* « Quelle mer n'a point de tempête ? «... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1818 - 470 pàgines
...point mourir encore. Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la Mort ; Moi je pleure et j'espère. Au noir souffle du nord Je plie et relève ma tête....dégoûts ? Quelle mer n'a point de tempête ? L'illusion fe'conde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain \ J'ai les ailes de l'Espérance.... | |
| 1819 - 640 pàgines
...jeune comme lai , Quoique l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore. L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain . J'ai les ailes de l'espérance : Échappée aux rézeaux de l'oiseleur cruel , Plus... | |
| André Marie Chénier - 1820 - 306 pàgines
...point mourir encore. Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la mort, Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du Nord Je plie et relève ma tête....habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain , J'ai les ailes de l'espérance : Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel , Plus... | |
| André Marie de Chénier - 1826 - 388 pàgines
...point mourir encore. Qu'un stoïque aux yeux secs vole embrasser la mort : Moi je pleure et j'espère ; au noir souffle du Nord Je plie et relève ma tête....habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain : J'ai les ailes de l'Espérance. Echappée aux réseaux de l'oiseleur cruel , Plus... | |
| |