Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1822 |
Des de l'interior del llibre
Resultats 1 - 5 de 82.
Pàgina 32
... nation vers le prince , et le prince vers la nation , semblait à chaque instant méditer davan- tage la conquête qu'elle avait faite de l'un et de l'autre . On ne fut pas long - temps sans être bien convaincu que la beauté de son ame ...
... nation vers le prince , et le prince vers la nation , semblait à chaque instant méditer davan- tage la conquête qu'elle avait faite de l'un et de l'autre . On ne fut pas long - temps sans être bien convaincu que la beauté de son ame ...
Pàgina 43
... nation applaudit au désintéressement , à la bienfaisance de la jeune reine . La poésie devait conserver le souvenir de ce sacrifice . Le comte de Coutourelle se fit l'organe du peuple reconnaissant ; il adressa à la reine le quatrain ...
... nation applaudit au désintéressement , à la bienfaisance de la jeune reine . La poésie devait conserver le souvenir de ce sacrifice . Le comte de Coutourelle se fit l'organe du peuple reconnaissant ; il adressa à la reine le quatrain ...
Pàgina 51
... nation : ce qui est certain , c'est que tous ceux qui ont eu l'honneur de l'ap- procher se louent extrêmement de sa bonté . On doit lui donner , lundi 5 , à Versailles , l'opéra de Castor et Pollux . » ( Note des nouv . édit . ) si bien ...
... nation : ce qui est certain , c'est que tous ceux qui ont eu l'honneur de l'ap- procher se louent extrêmement de sa bonté . On doit lui donner , lundi 5 , à Versailles , l'opéra de Castor et Pollux . » ( Note des nouv . édit . ) si bien ...
Pàgina 52
... nation française , cette guerre à laquelle les sujets ont entraîné leur roi , que tous ont crue si brillante , et qui a été si funeste à tous . Marie - An- ( 1 ) C'est à Nantes que Joseph dit , pour la première fois , ce mot profond qu ...
... nation française , cette guerre à laquelle les sujets ont entraîné leur roi , que tous ont crue si brillante , et qui a été si funeste à tous . Marie - An- ( 1 ) C'est à Nantes que Joseph dit , pour la première fois , ce mot profond qu ...
Pàgina 73
... nation d'hommes >> braves , d'hommes d'honneur , et de galans che- >> valiers . J'aurais cru que dix mille épées se se- >> raient élancées hors de leur fourreau , pour punir » un seul regard qui eût osé la menacer d'une in- » sulte ...
... nation d'hommes >> braves , d'hommes d'honneur , et de galans che- >> valiers . J'aurais cru que dix mille épées se se- >> raient élancées hors de leur fourreau , pour punir » un seul regard qui eût osé la menacer d'une in- » sulte ...
Frases i termes més freqüents
arrêté assemblée avaient bonté c'était Calonne cause chambre château circonstances clergé comte comtesse Du Barry Conseil convocation cour d'Éprémesnil dauphin déclaration délibération demanda députés devait donner duc d'Aiguillon duc d'Orléans duc de Choiseul édit enfans esprit états états-généraux eût factieux faisait famille royale Fayette femme finances force française fût garde-des-sceaux gardes gardes-du-corps gardes-françaises général gouvernement homme j'ai jamais jeune jour l'abbé l'archevêque l'Assemblée nationale l'État laisser lit de justice long-temps Louis XVI madame madame de Polignac madame du Barry magistrats Majesté malheureux maréchal Marie-Antoinette Marie-Thérèse Maurepas membres Mémoires ment ministre Mirabeau monarchie monarque Mounier n'avait n'était nation Necker noblesse notables Note des nouv ordres parlemens parlement personne peuple Polignac populace porter pouvait premier présenter prince princesse province public publique reine répondit respect reste révolution royaume s'était salle séance royale sentimens sentiment serait seul sorte souverain tiers tiers-état tion tout-à-coup trône troupes trouver venait Versailles voulait Weber
Passatges populars
Pàgina 357 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Pàgina 383 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté.
Pàgina 383 - ... de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu ? Eh bien ! c'est moi qui ne suis qu'un avec ma nation, c'est moi qui me fie à vous!
Pàgina 323 - Cette enceinte, élevée de quelques pieds en forme de demi-cercle, était tapissée toute entière de velours violet, semé de fleurs de lis d'or. Au fond, sous un superbe baldaquin, garni de longues franges d'or, était placé le trône. Au côté gauche du trône, un grand fauteuil pour la Reine et des tabourets pour les Princesses ; au côté droit, des...
Pàgina 393 - ... présenter à une foule exaspérée , et tenter de calmer la rébellion par sa présence ; le résultat de son voyage ne pouvait pas se prévoir. Accablée de peines de toute espèce, la reine recueillit ses forces et envoya à minuit le billet suivant à la duchesse de Polignac. « Adieu, la plus tendre des amies ! que » ce mot est affreux ! mais il est nécessaire. Adieu ! » je n'ai que la force de vous embrasser.
Pàgina 49 - Ce roi , plus grand que sa fortune , Dédaignait comme vous une pompe importune ; On ne voyait jamais marcher devant son char D'un bataillon nombreux le fastueux rempart; Au milieu des sujets soumis à sa puissance, Comme il était sans crainte, il marchait sans défense; Par l'amour de son peuple il se croyait gardé.
Pàgina 261 - Ce fut sans doute pour donner aux plus héroïques vertus une patrie digne d'elles, que le ciel voulut qu'il existât des républiques; et peut-être, pour punir l'ambition des hommes, il permit qu'il s'élevât de grands empires, des rois et des maîtres.
Pàgina 335 - ... mon devoir est de rester où la Providence m^a placée et d'opposer mon corps, s'il le faut, aux couteaux des assassins, qui voudraient arriver jusqu'au roi. Je serais indigne du nom de notre mère, qui vous est aussi cher qu'à moi, si le danger me faisait fuir loin du roi et de mes enfants.
Pàgina 457 - Ce qu'on remarquait dans sa personne était l'union de la grâce et de la dignité la plus imposante. Son esprit n'avait rien de brillant , et elle n'annonçait , à cet égard, aucune prétention. Mais il y avait dans elle quelque...
Pàgina 465 - France consiste dans cet espèce de silence religieux et sacré dans lequel on ensevelit, en obéissant presque toujours aveuglément aux rois, le droit que l'on ne veut croire avoir de s'en dispenser que dans les occasions où il ne serait pas même de leur service de leur plaire.